Coronavirus : Les Femmes d’Emigrés de Guet Ndar Privées de Vivres par Mansour Faye

Principales oubliées de l’aide alimentaire d’urgence à Saint-Louis, elles sont plus de 200 femmes d’émigrés de la Langue de Barbarie à se morfondre en attendant des lendemains enchanteurs. Les rigueurs de la vie, au quotidien, sont passées par là. Le commun des sénégalais les croit à l’abri du besoin et des contingences sociales du moment. Mais, par ces temps où le Covid_19 continue son petit bonhomme de chemin, ici et ailleurs, les femmes d’émigrés ont du mal à joindre les deux bouts. Au surplus, c’est la croix et la bannière, pour ces responsables de famille, d’entrevoir le bout du tunnel, par ces temps qui courent, a glané le site de référence www.miroironeline.com. Ayant un standing et un niveau de vie à sauvegarder, elles souffrent en silence, en essayant de colmater les brèches, à chaque fois que la situation l’impose. Et, puisqu’on les place dans la caste, trés sélective, des citoyens privilégiés et, socialement et économiquement  » bien assis « elles sont, bien souvent oubliées  » à l’occasion d’actions à utilité sociale. Ignorées lors de la dernière distribution de l’aide alimentaire d’urgence organisée à Saint-Louis, ces bonnes dames se rappellent aux bons souvenirs des autorités compétentes.

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