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Boudiouck : Les Populations s’ Opposent à l’ Installation d’ un Marché

_ A Saint_Louis, ,les populations du quartier Boudiouck s’opposent à l’installation d’un marché. A leur avis, ce marché destiné aux populations sinistrées de la Langue de Barbarie doit être construit au niveau de leur site d’accueil de Goudiop. Au surplus, ces populations estiment que ce marché va troubler leur quiétude en leur charriant l’insécurité et l’insalubrité.

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Vallée du Fleuve Sénégal : La Divagation des Animaux Source de Toutes Les Inquiètudes

_ Dans le Walo, l’incapacité des autorités à trouver une solution à l’épineux problème de la divagation des animaux est la première source d’inquiétudes par ces temps qui courent. Agriculteurs et éleveurs continuent de s’y regarder en chiens de faïence devant la presqu’ indifférence des autorités, qui brillent par leur manque de réaction. Dans les cuvettes rizicoles de Ross_Béthio et environs, notamment, la récurrence fait, souvent, monter l’adrénaline. Nuitamment, un troupeau de vaches à réduit, hier, à néant des centaines d’hectares dans la cuvette de Grande_digue Télèle.
Face à la presse, ces agriculteurs, pour la plupart des riziculteurs, ont pesté leur courroux.
Dans le département de Dagana, notamment dans la vallée du fleuve_Sénégal, la divagation des animaux et ses effets collatéraux sur le quotidien des populations continue d’être une préoccupation partagée. Et hante le sommeil des populations. La récurrence des faits cristallise la colère des agriculteurs qui se désolent de la non_réaction des autorités qui frise l’indifférence.
Conscients que les agriculteurs et les éleveurs sont condamnés à cohabiter, les troupeaux de vaches, ovins, caprins avec, les populations d’exhorter les autorités à jouer leur rôle. Bien souvent, c’est l’arbitrage de ces dernières qui fait défaut. Là où, même, une réaction de moindre envergure peut avoir un effet dissuasif.
Sous ce rapport, les autorités administratives comme politiques sont interpellées pour prendre le taureau par les cornes en vue d’éviter le pire.
Il y a, à peine un mois, quand un riziculteur a été sabré dans son champ au niveau de la cuvette de Grande_digue Télèle, ses camarades producteurs ont rué dans les brancards, investi les abords immédiats des périmètres rizicoles, guettant l’arrivée de bergers ou d’animaux en errance. A l’occasion de leur point de presse, les agriculteurs de cette partie du Walo n’ont pas manqué d’avertir que trop c’est trop et que la coupe est pleine.
Il convient de rappeler que la cuvette rizicole de Grande_digue Télèle s’étend sur 3.600 hectares et polarise des milliers de producteurs dispatchés au sein de 18 sections villageoises.

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PetroGaz : Présent à la Rencontre de l’ Otse de Saint_Louis, Birahim Seck se Prononce sur la Renégociation des Contrats

_ « Le programme USAID/TRACES est un programme sur quatre ans (20 septembre 2022 – 20
septembre 2026) qui vise à accroître la transparence et les mécanismes de responsabilisation
dans les secteurs minier, pétrolier et gazier pour améliorer la gestion et la répartition des
revenus au bénéfice de tous les citoyens sénégalais. NRGI, le chef de file, a formé un
consortium avec Forum Civil et ONG-3D pour mettre en œuvre le programme, qui cible
à la fois les niveaux national et infranational au Sénégal, y compris les communautés touchées
dans les zones extractives. Au niveau territorial , le programme est principalement mis en
œuvre dans les régions de Thiès, Kédougou, Saint-Louis, Matam et Fatick.
L’objectif du projet TRACES vise à accroître la transparence et les mécanismes de
responsabilisation dans les secteurs minier, pétrolier et gazier pour une meilleure gestion des
revenus, et à promouvoir une plus grande transparence grâce à des mécanismes de
surveillance et une gestion des revenus plus efficace.
La première année de mise en œuvre a été caractérisée par une série d’initiatives
substantielles d’engagement des parties prenantes, la mise en place de cadres de dialogue et
de concertation au niveau territorial, des efforts ciblés sur la sensibilisation à travers des
sessions complètes de formation et de renforcement des capacités pour diverses parties
prenantes, englobant des organisations de la société civile, des journalistes, des professionnels
des médias, des parlementaires, des autorités locales et d’autres cibles pertinentes.
C’est dans cette dynamique, que le Forum Civil a mis en place des Observatoires Territoriaux
sur le Secteur Extractif (OTSE) dans la zone d’intervention. Les membres de ces observatoires
ont bénéficié de sessions de renforcement de capacités sur des thématiques variées que sont
entre autres : les fonds et revenus issus du secteur extractif, la responsabilité sociétale
d’entreprise, le suivi environnemental et les plans de gestion environnementale et sociale, le
contenu local etc. Ces différentes sessions de renforcement des capacités ont été aussi une
occasion pour les membres des OTSE de formuler des recommandations pour l’amélioration
de la gouvernance du secteur extractif mais aussi d’élaborer des Plan d’Actions pour Rendre
Opérationnel les Recommandations (PAROR). Les OTSE ont proposé entre autres activités,
des sessions de formation sur des thèmes spécifiques que sont le droit d’agir en matière
environnementale, les obligations des entreprises, les outils de communication pour un plaidoyer
effectif pour la transparence et la redevabilité dans le secteur extractif.
Le Programme poursuit la série de renforcement de capacités sur la thématique relative au
régime de partage de production des hydrocarbures au profit de l’OTSE de Saint-Louis ».

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Saint_Louis : L’ Ong Direct Aid Society Organise un Camp Gratuit de Chirurgie de la Cataracte

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Arrêt des Licences de Peche et Audit de la Flotte Sénégalaise : Les Maréyeurs s’ En Félicitent

_ L’ Unams ( Union Nationale des Maréyeurs du Sénégal ) se félicite des mesures prises par les autorités, au sommet de l’ Etat, pour apporter toute la lumière sur la flotte sénégalaise ainsi que sur les licences de pêche allouées aux navires battant pavillon étranger.
Dans la foulée, les responsables de l’ Union Nationale des Maréyeurs du Sénégal ont émis le souhait de voir installer, partout dans le pays, des ports en vue de leur faciliter le travail.
Il convient de signaler que la délégation de l’ Unams a fait escale dans la cité tricentenaire de Mame Coumba Bang dans le cadre de sa tournée nationale.

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Se Désolant de la Faible Représentativité des Femmes dans le Nouveau Gouvernement : Le Renafes Réclame Plus de Présence au Niveau des Instances de Décisions

_ « Les organisations de défense des droits des femmes travailleuses jouent un rôle de premier plan dans l’adoption de lois en faveur de l’égalité homme-femme en milieu du travail au Sénégal. Des avancées ont été notées çà et là avec l’exercice de plaidoyer et de veille social porté par le RENAFES. Cependant les mouvements de femmes travailleuses au niveau régional sont aujourd’hui confrontés à des difficultés pour participer efficacement à la transformation sociale de leur environnement proximal et distal impactant leurs droits humains en milieu du travail. Pour palier à cette situation, le RENAFES national vise à soutenir ses organisations régionales de promotion des droits des femmes en renforçant leur fonctionnement organisationnel et en augmentant la portée et la qualité de leurs services. Son objectif ultime est de permettre aux travailleuses de tous les secteurs de jouir pleinement de leurs droits et de faire progresser l’égalité entre les femmes et les hommes pour un développement durable.Dans cette même lancé, le RENAFES en partenariat avec la fondation Friedrich Ebert accompagne les 14 antennes régionales élargies aux 45 départements du Sénégal pour également un renforcement de capacités, afin d’améliorer leurs aptitudes managériales.C’est dans ce cadre que s’inscrit la mission du RENAFES sur l’axe SUD regroupant les régions de( Kolda, Ziguinchor et Sedhiou) et L’axe Nord (Saint louis,Louga et Matam). Cette rencontre sera l’occasion de développer une approche synergique entre les structures régionales autour de hautes réflexions sur les stratégies de plaidoyer, le leadership transformationnel féministe, la veille sociale et le contrôle citoyen appropriés à leurs localités. Ceci dans l’optique de soutenir leur viabilité et efficacité qui garantissent leur offre de services à la population bénéficiaire ».

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Vallée du Fleuve Sénégal : Le Défaut de Maintenance Assèche les Périmètres Rizicoles dans le Ndiael

_ Parer au plus pressé et sauver ce que peut l’être des cultures dans la zone du Diawel, c’est le sens de la visite du directeur général de la Saed, en bord champ. Sur quelques 1.500 hectares emblavés, à l’occasion de cette présente saison culturale, prés de 700 sont perdus. Le manque d’eau au niveau des chenaux d’irrigation, causé par un défaut d’entretien en est la principale cause, selon les spécialistes. L’eau n’arrive pas au niveau des périmètres rizicoles.
A l’index, les plantes et herbes aquatiques, qui obstruent les voies d’eau.
Sitôt l’alerte donnée, par le truchement de la toile, les autorités de la filière_riz et autres responsables d’encadrement des producteurs ont jugé opportun de prendre les devants. Des moyens mécaniques de lutte sont, d’ores et déjà, mis en branle pour circonscrire le mal. Cependant, pour être à la page et suivre le tempo imprimé par les nouvelles autorités au sommet de l’ Etat, des mesures hardies doivent être mises en oeuvre pour dépasser, durablement, ces difficultés relatives à l’acheminement de l’eau jusqu’aux champs. D’autant que la récurrence des faits inquiète. Une lutte intense, qui s’inscrit dans la continuité, doit être menée contre le tipha et les autres herbes aquatiques envahissantes. Ce ne sera pas une sinécure mais la réussite est, certainement, au bout de l’effort. Le Salvinia Molesta n’a plus pignon sur rue dans le Delta et la Vallée du fleuve_Sénégal. La volonté en bandoulière et des moyens conséquents à portée de main, le tout sous_tendu par une lutte biologique, ont permis de venir à bout, il y a quelques années, du Salvinia Molesta qui commençait à prendre beaucoup de place dans certaines parties du Walo et du Fouta, que d’aucuns considèrent comme le grenier du pays. Au surplus, en menant une lutte, tous azimuts, à ces herbes et plantes aquatiques envahissantes, les autorités vont faire d’une pierre deux coups. Les nichoirs et autres cachettes des oiseaux granivores comme le quéléa_quélea, vont être détruits, Les privant, ainsi, de points de repli ou de repaires.

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Autoroute à Péage Tivaouane / Saint_Louis : Les Impactés du Tronçon de Gandon Réclament les Impenses Agricoles, Immobilières, Forestières

_ « Nous sommes plus de 1300 familles impactées par la construction de l’autoroute à péage Tivaouane / Saint-Louis, dans la commune de Gandon .L’ Ageroute s’est accaparée de nos maisons, terrains, champs et vergers, moyennant une faible compensation financière. Nous avons accepté car nous n’avons pas eu le choix. Malgré notre sacrifice pour notre pays ,l’Ageroute depuis presque 3 ans n’arrive pas à nous payer. Ou alors elle le fait par tranche. Mais 80 % des impenses n’est encore payé. Quant aux terrains nus, aucun dédommagement n’est envisagé par l’ Ageroute alors que nous les avions achetés à hauteur de 6 à 8 millions de Fcfa. Car, pour la plupart part, ces terrains se trouvent dans la zone de l’université Gaston Berger ou alors près du littoral. C’est pourquoi, nous demandons au nouveau ministre des infrastructures El Malick Ndiaye de suivre les directives« Djub / Djubel / Djubanti » du Président de la République Bassirou Diomaye Faye et du premier ministre Ousmane Sonko, en nous réhabilitant dans nos droits ».

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PetroGaz sur la Langue de Barbarie : La Coalition de Concertation Citoyenne en Marche Grâce à l’ Ong 3 D

_ « Le Sénégal a enregistré un score très élevé dans la validation de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE) de 2021 avec une note 93/100. Cette performance est confirmée par l’Indice de gouvernance des ressources (RGI) de NRGI de 2021 qui crédite le Sénégal des notes de 82/100 pour le secteur des hydrocarbures et de 76/100 pour le secteur minier. Ces scores indiquent que le pays dispose d’une base solide pour la transparence et la gestion des revenus extractifs. Cependant l’augmentation et l’intégration progressive des revenus pétroliers et gaziers dans l’économie exige de renforcer la transparence publique. Le Sénégal a enregistré un score très élevé dans la validation de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE) de 2021 avec une note 93/100.Depuis son adhésion à l’ITIE en 2013, le Sénégal a entrepris la mise en œuvre de la norme ITIE à travers différentes initiatives visant à renforcer la transparence dans la gestion des revenus dans le secteur extractif. Certes l’opérationnalisation de plusieurs mécanismes institutionnels visant à améliorer la gouvernance du secteur extractif est salutaire, mais il faut reconnaitre que des efforts sont encore à faire dans la mise à disposition de l’information pour optimiser la contribution du secteur privé d’entreprise dans le développement local.En effet, les populations et les autorités locales se plaignent assez souvent de la faible interaction entre les départements en charge de la performance sociale des entreprises extractives et les collectivités territoriales qui provoque parfois un climat social tendu entre ces dernières et les communautés impactées.C’est dans cette optique que l’ONG 3D avec le soutien de l’USAID dans le cadre de la mise en œuvre du programme USAID TRACES a développé des plans d’investissement pour soutenir les projets prioritaires des collectivités territoriales qui seront financés à partir des ressources extractives. Dans les territoires à fort potentiel de ressources extractives, le débat sur la transparence dans la gouvernance des ressources extractives n’est pas souvent bien structuré par les communautés impactées par manque d’informations et de connaissances fiables sur la problématique. C’est qui se justifie par le déficit de participation des populations locales à l’élaboration des stratégies de valorisation des ressources naturelles issues de leurs territoires. Par conséquent, la Coalition de participation citoyenne (CPC) qui constituent l’interface entre les communautés impactées, les entreprises et les autorités territoriales afin de veiller à une exploitation apaisée et rentable des ressources naturelles doit disposer d’une feuille de route dont les actions sont arrimées aux politiques publiques développées dans le secteur extractif et en parfaite cohérence avec les Plans de développement communal ».