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Khor_Usine : ADKU Porte les Axes Stratégiques de Développement

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Khor Usine : Le Gamou Annuel a Vécu

_ « En marge de la cérémonie officielle du gamou annuel de Khor Usine, le président du mouvement ACCES Mouhamadou Fadel KONE a participé à l’inauguration du daara moderne de Khor_Usine et de deux magasins avec les autorités du quartier et du président de l’ADKU Baba Ba. Cette cérémonie s’inscrit dans les axes stratégiques du développement de Khor Usine ».

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Pour un « Développement Positif des Jeunes » : Le Projet « Bamtaare Sukaabe » Lancé


_ « Feed thé Future Sénégal Bamtaare Sukaabe est un programme de renforcement de capacités de leadership des clubs 4_H et OSC de jeunes dans leurs communautés ( quartiers, villages, espaces éducatifs ). Ce programme de trois millions de dollars US, financé par l’ USAID ( l’ Agence des Etats Unis pour le Développement International), sera mis en oeuvre sur une durée de cinq ans, soit soixante mois dans les régions de Saint_Louis, Matam, Louga et Dakar.
Le but est de forger de jeunes citoyens acteurs de changement et de développement communautaire. Le programme renforce le leadership des jeunes dans leurs espaces communautaires ( quartiers, villages, communes, espaces d’apprentissage…) en mettant en compétition des OSC de jeunes autour de projets solidaires pour le développement de leur communauté. Ils doivent mobiliser les populations locales autour de leur projet et levée des ressources, en natures ou en numéraires. Les meilleurs projets bénéficient d’un complément financier pour réaliser leur projet à impact collectif ».
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PetroGaz à Saint_Louis : Le Contenu Local Sectoriel sur la Pêche en QuestionS

_ « Au Sénégal, la période 2014-2017 est caractérisée par la multiplication des découvertes de
gisements de pétrole et de gaz au niveau du bassin sédimentaire, ce qui marque un tournant
décisif dans l’histoire politique et économique, même si, il faut le noter les recherches ont
commencé depuis les années 50.
En effet, ces découvertes ont essentiellement porté sur les blocs de Sangomar offshore
profond,Saint-Louis offshore profond et Cayar offshore profond où PETROSEN et ses
partenaires ont découvert du pétrole et du gaz naturel entre 2014 et 2018.
Quatre (4) découvertes de pétroles et de gaz sont faites avec les puits FAN-1 SNE-1, FAN
SUD- 1, SNE NORD -1 au niveau des Blocs Rufisque offshore, Sangomar offshore et
Sangomar offshore profond (RSSD) situés à 100 km des côtes au sud de Dakar. Le gisement
offshore Sangomar profond, anciennement connu sous le nom SNE a été découvert en 2014.
Ses réserves sont estimées à plus de 2,5 milliards de barils de pétrole brut et la production
entre 100 000 et 120 000 par jour, selon les estimations. L’association CAIRN Energy,
CONOCCOPHILIPS, FAR Limited et PETROSEN a entrepris, entre fin 2015 et 2018,
l’évaluation de ce gisement avec le forage de 8 puits. Les réserves récupérables sont estimées
à près de 630 millions de barils de pétrole. Le gisement renferme aussi du gaz naturel associé
et non associé dont les réserves sont de l’ordre de 4 TCF (113 milliards de Nm3).
Trois (3) découvertes de gaz sont faites avec le puits GUEMBEUL-1 dans le bloc Saint-
Louis offshore Profond situé à 120 km des côtes au nord de la ville de Saint Louis ainsi que
les puits YAAKAR-1, TERANGA-1 sur le bloc Cayar Offshore Profond localisé à 60 km
des côtes de Kayar. Globalement, le Sénégal dispose de plus de 930 milliards de mètres
cubes de gaz et plus de 1030 millions de barils de pétrole.
L’exploitation et la commercialisation devrait générer des résultats qui auront des impacts
positifs sur l’économie du pays, suscitant de ce fait l’intérêt d’une bonne partie de
la population. Cet intérêt grandissant pour ces ressources renseigne sur les enjeux qui sont
techniques, énergétiques, écologiques, économiques mais aussi sur les grands défis tant en
termes de bonne gouvernance, de transparence, que sur le plan environnemental et
sécuritaire.
Face à cette situation l’ONG Action Solidaire International, dans le cadre du « Projet
d’Appui aux Communautés Impactées », financé par la Fondation Européenne sur le Climat
(ECF) a initié des consultations publiques qui avaient été principalement motivées par le fait
que les communautés de pêcheurs avaient commencé déjà à se faire entendre sur certaines
difficultés qu’elles rencontraient dans le cadre de leur activité de pêche. Il s’agit
principalement de la raréfaction des espèces halieutiques et des craintes liées à la dégradation
de leur écosystème marin qu’elles ont imputée à l’activité d’exploration et d’exploitation
gazière et pétrolière. Ces consultations étaient l’occasion de donner la parole aux acteurs de
la pêche artisanale pour partager leurs préoccupations et leurs points de vue sur l’exploitation
du pétrole et du gaz et sur les instruments de gouvernance mis en place pour gérer le secteur
notamment la loi sur le contenu local. Il demeure donc légitime que les communautés sachent
ce qui est prévu, en cas d’exploitation effective, pour qu’elles puissent faire face à
d’éventuelles perturbations ou remise en question de leurs activités.
De ces consultations il est ressorti que la loi sur le contenu local est jugée limité car ne
prenant pas en compte certaines risques qui peuvent découler de cette exploitation.
C’est dans ce cadre que l’ONG Action Solidaire International, organise un atelier de
réflexion sur des propositions pour l’élaboration d’un contenu local spécifique au secteur de
la pêche ».

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Présidentielle 2024 : La Caravane de la Paix de la Plateforme « Etu Jamm » Fait Escale à Saint_Louis

_ « La Plateforme de Veille des Femmes pour la Paix et la Sécurité appelée « ËTU JAMM », « Espace de Paix » en wolof,
comprend 60 organisations de la société civile féminine et panafricaine. Elle est coordonnée par l’ONG Femmes Africa
Solidarité (FAS), sur initiative de Mme l’Envoyée Spéciale auprès de la commission de l’Union Africaine sur Femmes,
paix et Sécurité.
La Plateforme jouit d’un leadership et d’une crédibilité reconnus, à travers les organisations qui la composent, actives
sur les questions électorales, la participation citoyenne des femmes, la paix, la sécurité, la gouvernance démocratique,
par la Médiation, la Mobilisation et le Monitoring, articulés dans sa stratégie des 3 M.
ETU JAMM a participé et a joué un rôle prépondérant, en contribution au maintien de la paix, à la consolidation de la
cohésion sociale et à la prévention des conflits dans les processus électoraux : présidentiel, législatif, local.
Aujourd’hui, le rendez-vous électoral au Sénégal se prépare dans un climat laissant présager de potentielles tensions,
au regard des nouvelles donnes. Les élections présidentielles à venir revêt, à cet effet, un caractère particulier, avec de
grands enjeux pour le Sénégal.
Ces situations interpellent la Plateforme ETU JAMM qui reconnait que Les périodes pré-électorale, électorale et post-
électorale sont généralement émaillées de risques de basculement pour un pays si elles ne sont pas gérées en toute
sérénité, responsabilité et citoyenneté, dans un climat social apaisé.
Conformément à sa mission, ETU JAMM mise sur une synergie d’actions en vue d’une élection présidentielle apaisée,
transparente, démocratique et inclusive le 25 Février 2024.
Dans cet objectif, ETU JAMM compte entreprendre une série d’actions comprenant : une campagne nationale de
sensibilisation, de plaidoyer, de dialogue et de mobilisation sous forme de caravane, dans les 14 régions du Sénégal.
Cette campagne inclut des fora communautaires impliquant les Femmes leaders, les jeunes, les communautés de base,
les élus locaux et les leaders d’opinions.
En marge de la campagne, ETU JAMM rencontrera dans les localités cibles les ressorts de la régulation sociale que
sont les autorités religieuses, coutumières, traditionnelles, administratives, en vue de porter le plaidoyer de ETU JAMM
et les messages pour des élections apaisées, transparentes et démocratiques dans un climat social apaisé.
Dans le même ordre, il est prévu des consultations avec les jeunes, les journalistes et professionnels des médias ».

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Comité Régional de la Sécurité Sanitaire « One Health » : La Planification Intégrée en QuestionS

_ « L’émergence ou réémergence de maladies pandémiques (Ebola, COVID-19, grippe aviaire A/H5N1…) constitue de nos jours des menaces persistantes de santé publique avec des conséquences désastreuses sur le plan sanitaire et socio-économique.Les modèles de gestion sanitaire efficaces et efficientes de ces maladies sous-tendent une mise en œuvre de l’approche « One health », car 60 % des maladies infectieuses humaines connues et 75 % des maladies émergentes ou ré-émergentes sont d’origine animale. Le concept « One Health », défini par la quadripartite (OMS, OMSA, FAO, PNUE), comme « une approche intégrée et unificatrice qui vise à équilibrer et à optimiser durablement la santé des personnes, des animaux et des écosystèmes », met clairement en exergue la nécessité d’élaborer et de mettre en œuvre des politiques de santé prenant en compte l’interface homme, animal et environnement afin de contribuer avec efficience à l’atteinte des Objectifs de Développement Durable.Cette approche constitue une base solide pour le renforcement de la sécurité sanitaire mondiale et l’amélioration des résultats de développement à des coûts sociétaux et économiques beaucoup plus faibles.Le programme de sécurité sanitaire mondiale (Global Health Security Agenda) lancé en 2014 procède de cette volonté des Etats et des organisations internationales à mieux contribuer à la sécurité de la planète à travers l’accompagnement des pays pour une meilleure application du RSI et des autres instruments internationaux comme les codes sanitaires de l’OMSA. Le Sénégal a également adhéré à cette initiative, et après l’évaluation externe conjointe de 2016, a mis en place le Haut Conseil national de sécurité sanitaire mondiale (HCNSSM) « One Health » par arrêté primatoral n° 21787-2017 portant création et fixant les règles d’organisation et de fonctionnement de la Structure de coordination multisectorielle de la Sécurité sanitaire mondiale « One Health ».Le HCNSSM « One Health » est chargé de veiller à la synergie et à la complémentarité des secteurs en charge de la santé humaine, de la santé animale, de la santé environnementale, de la santé végétale, de la sécurité alimentaire et nutritionnelle, de la sécurité sanitaire des aliments, de la sécurité publique et de la sécurité civile. En outre, il a pour mission essentielle de définir les grandes orientations stratégiques du Programme de Sécurité sanitaire mondiale et de la mise en œuvre effective de l’approche « One Health ».Plusieurs acquis ont été obtenus par le Sénégal en termes de mise en œuvre de l’approche « One Health ».En effet, le HNSSM-OH, à travers un bon fonctionnement de ses organes, a réussi à impulser une collaboration intersectorielle et interdisciplinaire au niveau central. Toutefois, malgré le lancement des plateformes régionales « One Health » en 2021 qui sont placées sous le leadership des Gouverneurs, il demeure encore des difficultés pour faire fonctionner certaines plateformes déconcentrées. Ainsi, vu les délais impartis pour l’élaboration du PANSS et sur la base de l’évaluation externe conjointe du RSI réalisée en juillet 2023, le Secrétariat Permanent du HCNSSM et le Point focal national RSI, envisagent en collaboration avec USAID/Breakthrough ACTION, d’organiser un atelier de planification intégrée des activités du comité régional de sécurité sanitaire « One health » de Saint-Louis. Cette planification entre dans le cadre de la territorialisation des politiques publiques de l’Etat et permet d’améliorer le niveau de performance des indicateurs du RSI ».

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Saint Louis : La Marine Nationale à l’ Honneur

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Présidentielle 2024 : Macky Sall dans le Viseur des Libéraux de Saint Louis aprés la Disqualification de Karim Wade

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Présidentielle 2024 : Les Pro Mimi de Ndar Dénoncent les Irrégularités du Processus Electoral

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Saint Louis : La Gestion des Finances Publiques en QuestionS

– « Le Réseau Citoyen pour la Transparence Budgétaire (RCTB), avec le soutien de l’USAID /
Sénégal dans le cadre de son projet Appui à la gestion des finances publiques, organise cet atelier régional pour échanger avec les
organisations de la société civile (OSC) sur le Document de Programmation budgétaire et économique pluriannuelle (DPBEP) et
recueillir leurs attentes. Cet atelier vise à offrir un cadre de partage et d’échanges avec les OSC sur les objectifs et le contenu du
DPBEP qui est un des documents budgétaires clés du Sénégal.
Le Gouvernement du Sénégal s’est engagé à promouvoir la transparence et la responsabilité dans la gestion des finances
publiques, mais également à favoriser l’engagement et la participation des citoyens pour une croissance économique plus
inclusive. C’est dans cette optique, que le projet USAID Appui à la gestion des finances publiques avait accompagné la
Direction Générale du Budget (DGB) du ministère des Finances et du Budget dans la tenue de la première rencontre
d’échanges et de partage du le Document de Programmation budgétaire et économique pluriannuelle (DPBEP 2023-2025)
avec l’ensemble des acteurs de la société civile. Cette rencontre a marqué un jalon important et jeté les bases d’un dialogue
essentiel visant à favoriser une participation plus active des organisations de la société civile au processus budgétaire de
l’État. Elle a également encouragé l’appropriation des grandes orientations budgétaires et économiques du gouvernement
et promu l’accès des citoyens à l’information budgétaire.
Parmi les recommandations majeures émises lors de cette rencontre figurait le renforcement des capacités des OSC pour
qu’elles aient une meilleure compréhension du processus d’élaboration du DPBEP et puissent ainsi adresser des
observations appropriées à la DGB mais également afin d’assurer leur contribution effective à toutes les étapes du
processus budgétaire, pour une prise en charge durable des besoins des citoyens.
C’est dans cette perspective que le RCTB, avec l’accompagnement du projet USAID Appui à la gestion des finances
publiques, a initié une série d’ateliers régionaux de partage du DPBEP et d’écoute des OSC dans les villes de Saint-Louis,
Kédougou, Sédhiou et Dakar. Cette série de rencontres s’inscrit dans le cadre de la collaboration initiée par le projet
USAID Appui à la gestion des finances publiques avec plusieurs organisations de la société civile afin de mettre en œuvre
une série d’initiatives visant à améliorer la transparence dans la gestion des fonds publics et encourager la participation
des citoyens au processus budgétaire.
Pour sa contribution au projet USAID Appui à la gestion des finances publiques, le RCTB prévoit une série d’activités afin
d’outiller, entre autres, les OSC et les Groupes Locaux de Suivi Budgétaire (GLSB) pour leur participation efficace au
débat d’orientation budgétaire et dans la gestion des fonds publics. Les activités qui seront menées permettront également
de formuler des propositions et des plaidoyers pour des politiques publiques en droite ligne avec les besoins des citoyens ».