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Présidentielle 2024, les Pro_Sonko réclament sa réintégration sur les listes électorales. Réitérant leur confiance à la justice sénégalaise, ces Pro_Sonko de préciser que leur leader ne peut être forclos.

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Elles Nettoient la Ville de Saint_Louis et Courent Derrière 8 Mois de Salaire

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Ugb : Les Étudiants Décrètent 72 heures de Jst et 24 sans Cours pour Réclamer leurs Bourses

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Regrettant les Derniers Incidents de Cayar : Les Pêcheurs de Mboro, Fass_Boye, Saint_Louis et Cayar s’ Asseyent autour de la Table de Concertation

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Secteur Extractif : Saint Louis Officialise son Observatoire Territorial OTSE

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Secteur Extractif à Saint_Louis : La Question Environnementale Vue sous sa Forme Juridique, en Questions

_ « Le programme USAID/TRACES est un programme de quatre ans (20 septembre 2022 – 20 septembre 2026) qui vise à accroître la transparence et les mécanismes de responsabilisation dans les secteurs minier, pétrolier et gazier pour améliorer la gestion et la répartition des revenus au bénéfice de tous. Citoyens sénégalais. NRGI, le chef de file, a formé un consortium avec Forum Civil et ONG-3D pour mettre en œuvre ce programme, qui cible à la fois les niveaux national et infranational au Sénégal, y compris les communautés touchées dans les zones extractives. Au niveau infranational, le programme est principalement mis en œuvre dans les régions de Thiès, Kédougou, Saint-Louis, Matam et Fatick.L’objectif du projet TRACES vise à accroître la transparence et les mécanismes de responsabilisation dans les secteurs minier, pétrolier et gazier pour une meilleure gestion des revenus, et promouvoir une plus grande transparence grâce à des mécanismes de surveillance et une gestion des revenus plus efficace.La première année de mise en œuvre est caractérisée par une série d’initiatives substantielles d’engagement des parties prenantes, la mise en place de cadres de dialogue et de concertation au niveau territorial, des efforts ciblés sur la sensibilisation à travers des programmes complets de formation et de renforcement des capacités pour diverses parties prenantes, englobant des organisations de la société civile, des journalistes, des professionnels des médias, des parlementaires, des autorités locales et d’autres entités pertinentes.C’est dans cette dynamique, que le Forum Civil a mis en place onze (11) Observatoires Territoriaux sur le Secteur Extractif (OTSE) dans la zone d’intervention. Les membres de ces observatoires ont bénéficié de sessions de renforcement de capacités sur des thématiques variées que sont entre autres : les fonds et revenus issus du secteur extractif, la responsabilité sociétale d’entreprise, le suivi environnemental et les plans de gestion environnementale et sociale, le contenu local etc. Ces différentes sessions de renforcement des capacités ont été aussi une occasion pour les membres des OTSE de formuler des recommandations pour l’amélioration de la gouvernance du secteur extractif mais aussi d’élaborer des Plan d’Actions pour Rendre Opérationnel les Recommandations (PAROR). Les OTSE ont proposé entre autres activités, des sessions de formation sur des thèmes spécifiques que sont le droit d’agir en matière environnementale, les obligations des entreprises, les outils de communication pour un plaidoyer effectif pour la transparence et la redevabilité dans le secteur extractif. Ils ont en outre solliciter la structuration à travers la mise en place d’un bureau pour chaque OTSE et élaboration d’un plan de travail. Le Forum Civil, avait même démarré à la fin de la première année les sessions de renforcement des capacités sur les thèmes susvisés avec les OTSE de Mboro, Taiba Ndiaye, Bossé1 et HOD2 ».

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Candidat à la Présidentielle de 2024 : Boubacar Camara entre Convictions et Sacrifices

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Accident en Haute Mer dans un Contexte d’ Exploitation Gazière : Saint Louis s’ Approche de la Réalité à Travers une Simulation

_ « Dans le cadre de la coordination de l’action de l’Etat en mer, il est mis sur pieds un Plan national d’interventions d’urgence en mer (PNIUM). L’opérationnalisation dudit plan, implique, entre autres, l’organisation d’exercices indispensables au développement et au maintien d’un dispositif de lutte efficace et réactif. A cet effet, s’inscrivant dans la dynamique de renforcement des capacités qui répond aux obligations du PNIUM, la HASSMAR planifie un exercice en salle le mercredi 13 et le jeudi 14 décembre 2023 à Saint-Louis.
Cette activité permettra à la HASSMAR, d’une part, d’encadrer les autorités administratives dans l’établissement de plans locaux opérationnels de lutte contre les incidents en mer conformément aux dispositions du PNIUM, et d’autre part, de tester les procédures relatives à la mobilisation des membres du comité local de coordination aux fins de la mise en place d’un PC de crise. Effet final recherché Permettre aux structures composant l’architecture locale de l’Action de l’État en Mer d’acquérir leur autonomie dans la coordination de la réponse aux situations d’urgence en mer en zone Nord.Scénario Le scénario portera sur : Le mercredi 13 décembre 2023, à 08 00 Z, au cours de son accostage, le méthanier « Perle des Mers » battant pavillon du Etat Vert heurte les installations du Hub GTA, lors de sa manœuvre d’accostage. Cet incident a occasionné une émanation de gaz et de personnes tombées à la mer.Une première évaluation de l’accident fait état de nombreux blessés majeurs, de morts et disparus, et une avarie des moyens de propulsion du navire. Le MRCC est alerté par le capitaine du navire. Les équipes de BP active leur plan de gestion de crise.Le RSC informe le gouverneur de Saint-Louis et le CLC est convoqué par le Dé légué Nord. Les premières réactions sont initiées.A 17 h, l’avion de patrouille maritime constate la présence d’une nappe d’hydrocarbures qui proviendrait du méthanier et qui pourrait atteindre les côtes dans les prochaines heures. Le MRCC contacte le RSC Nord pour une intervention visant à lutter contre la pollution marine et à contenir la nappe d’hydrocarbures.Le Gouverneur informé, met en œuvre du plan POLMARTERRE.
On note par ailleurs la présence sur zone de pirogues de pêche, d’un patrouilleur de la Marine Nationale et de deux (02) méthaniers dans la zone d’attente. Le traffic au large est dense ».

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Déclaration de Me Moussa Diop : Aly Ngouille Ndiaye Regrette et Este en Justice

_ Suite à la dernière sortie médiatique de Me Moussa Diop, Aly Ngouille Ndiaye regrette et este en justice. En visite à Saint_Louis, le candidat à la présidentielle de 2024 précise qu’il n’y a aucun intérêt à accorder du crédit à de tels propos.

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Rapports Itie : Enda Leads Facilite la Compréhension à Travers des Guides Simplifiés

_ « Le Sénégal est un pays avec une longue tradition minière à travers l’exploitation du phosphate dans la région de Thiès et la production de ciment depuis les années 1940. En 2009, le Sénégal est entré dans le cercle restreint des pays producteurs d’or. À cela, s’ajoutent les découvertes de gisements de minéraux lourds tels que le zircon, l’ilménite, le rutile, le fer, etc. L’importance de ce secteur pour la croissance économique et des opportunités qui y sont liées constitue la raison pour laquelle le Plan Sénégal Émergent (PSE) en a fait l’un des piliers de son axe de transformation structurelle de l’économie et de la croissance. En 2014, le pays a connu l’annonce de la découverte de gisements pétrolier et gazier sur son territoire maritime suscitant davantage les enjeux de transparence, de bonne gouvernance et d’accès à l’information entre toutes les parties prenantes (Etat du Sénégal, élus locaux, secteur privé, citoyens, société civile, etc.) en ce qui concerne la recherche, l’exploitation et les revenus issus des activités extractives. C’est dans ce contexte que le Sénégal a adhéré depuis 2013 à l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives (ITIE). Depuis lors, ITIE Sénégal a publié neuf (09) rapports annuels (respectivement pour les années 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019,2020 et 2021). La deuxième validation du Sénégal a démarré le 1er juillet 2021 et le Conseil d’administration de l’ITIE a conclu le 21 octobre 2021, que le Sénégal a atteint un score très élevé (93 points) dans la mise en œuvre de l’ITIE en prenant en considération le score global des composantes liées (i) à l’engagement des parties prenantes ; (ii) à la transparence, et ; (iii) aux résultats et à l’impact. Toutefois, bien que de nombreux acquis et réalisations ont été enregistrés dans la mise en œuvre de l’ITIE, persistent encore certains défis à relever pour une gouvernance transparente et effective des ressources extractives. Parmi ces challenges, figure le défi de l’accès à l’information, sur les revenus, les aspects environnementaux et les impacts sur le développement local. Ainsi, il est noté un manque de compréhension et d’appropriation des informations contenues dans les rapports de conciliation de l’ITIE qui sont jugés très volumineux et souvent complexes par les citoyens, notamment le public non technique et les franges non instruites. Ceci conduit à une asymétrie d’informations entre les différents acteurs concernés et directement impactés par l’exploitation des ressources minérales et impacte négativement sur les relations et le climat de confiance entre les différentes parties prenantes. D’après le Secrétariat International de l’ITIE (2021), les consultations avec les parties prenantes ont permis d’identifier deux défis majeurs en matière de gestion du secteur extractif au Sénégal, notamment en ce qui concerne le renforcement de la participation des communautés touchées par des activités extractives et des organisations locales au processus ITIE et l’accroissement de la transparence des revenus réinvestis en vue d’améliorer la vie des communautés touchées. Ainsi, le renforcement de la participation informée des communautés locales et des citoyen-nes dans la dans la tenue du débat public dans le secteur extractif doit nécessairement passer par la disponibilité et l’accès à l’information, de façon plus accessible et plus digeste. Pour rappel, Enda LEAD Afrique Francophone, grâce au soutien d’Oxfam au Sénégal, avait entrepris la réalisation des guides simplifiés des rapports ITIE de 2016, 2017, 2018 et 2019. Ceci au titre d’une des contributions de la société civile dans la mise en œuvre de l’ITIE au Sénégal, conformément à l’exigence 1.3 relative à l’engagement de la société civile inhérent à la norme ITIE 2019. Afin d’assurer cette continuité, Enda Lead Afrique Francophone en partenariat avec Oxfam au Sénégal dans le cadre du projet « A Egalité phase II : Contrôle citoyen des industries extractives et des finances publiques au Sénégal », continue à réaliser la simplification des rapports 2020 et 2021 afin de les rendre plus accessibles aux communautés et au grand public ».