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Sénégal / Presse : Pape Alé Niang Hume l’ Air de la Liberté

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Sénégal / Presse : Sos pour Pape Alé Niang

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PetroGaz et Exploitation Minière dans la Région de Saint_Louis : La Fafs à l’ École du Contenu Local

« Dans le cadre de la mise en œuvre du Projet Voix et Leadership des femmes au Sénégal, il est prévu d’accompagner les organisations et un réseaux de promotion des droits des femmes et des filles pour le renforcement de leur fonctionnement organisationnel et leurs capacités institutionnelles, humaines, techniques et financières. Il s’agit d’un appui qui concerne l’adoption de pratiques innovantes en matière de gestion et de programmation afin de soutenir leur viabilité. Notamment optimiser les services offerts aux femmes et aux filles et améliorer l’efficacité du plaidoyer pour les droits des femmes. C’est pour cela que la FAFS de Saint-Louis fait partie des organisations sélectionnées pour la mise en œuvre du projet ‘’Voix et Leadership des Femmes au Sénégal (VLF-Sénégal) grâce à un appui financier du gouvernement du Canada, qui concourt au renforcement des organisations et réseaux de promotion des droits des femmes et des filles, à la protection de leurs droits et à l’atteinte de l’égalité femmes-hommes.
Saint-Louis est une région, une ville confrontée à des problèmes socio-économiques et environnementaux qui plombent son essor. D’une part l’avancée de la mer, l’érosion côtière, les terres salées et arides, ainsi que l’intensification d’une agriculture moderne qui bouleversent son environnement ; de l’autre, le faible niveau d’aisance de la population et la raréfaction des ressources halieutiques qui seront inexorablement à l’épreuve de la prochaine exploitation du gaz naturel dans le bloc Saint-Louis offshore. Cette activité aux enjeux colossaux impactera sur le plan économique et social la région. En effet, la configuration des installations et la prégnance des campagnes d’exploration fait craindre une perturbation des activités de pêche déjà fragilisées par les effets liés aux changements climatiques. L’exploitation des ressources peut également avoir un impact significatif sur l’environnement naturel, avec des impacts différents pour les hommes et les femmes. La disponibilité réduite de ces ressources en raison des changements environnementaux associés à l’industrie extractive peut entraîner des tâches beaucoup plus longues et empêcher ou limiter les chances aux femmes et aux filles d’aller à l’école. Cela peut également entraîner des modifications des habitudes alimentaires avec une potentielle dépendance accrue aux aliments transformés, entrainant des conséquences sanitaires désastreuses. Le secteur extractif est associé à d’autres risques pour la santé, avec de forts impacts sur les femmes, aussi bien dans l’exploitation industrielle que l’exploitation artisanale et à petite échelle. Ainsi que dans le cadre de la mise en œuvre du PTA4 du projet voix et leadership des femmes, il est prévu d’organiser des Foras communautaires de sensibilisation sur l’impact de l’exploitation gazière sur la pêche et les activités de transformation halieutiques dans les zones impactées ».
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Saint_Louis : L’ Insertion des Jeunes en QuestionS

« Au Sénégal, la problématique de l’emploi des jeunes demeure une question cruciale et un défi majeur pour l’État malgré les performances économiques des dernières années avec un taux de croissance de 6.2 % durant la première phase du PSE (2014-2018) contre 3.3% dans la période 2009-2013. En effet, le dernier rapport de l’Enquête Nationale sur l’Emploi au Sénégal (troisième trimestre 2017) montre que le taux de chômage des personnes âgées de 15 ans ou plus est évalué à 10,8 %. Ce phénomène est légèrement plus noté en milieu urbain ou 13,8 % de la population active sont au chômage contre 7,6% en zone rurale. Selon le sexe, le chômage affecte davantage les femmes (16,56%) que les hommes (5,9%).Le secteur informel concerne 90 % de la population active et 60 % de la contribution au PIB. Avec un taux d’accroissement démographique de 3 % par an, atout potentiel pour la vitalité de son économie, le Sénégal voit arriver sur son marché du travail environ 269 000 nouveaux demandeurs d’emploi chaque année, dont une bonne partie est peu ou pas qualifiée (la durée moyenne d’éducation est de 3,7 ans. L’impact attendu de la 2ème phase du PSE (2019-2023) est la création d’au moins 500 000 emplois décents. Le premier Recensement Général des Entreprises (RGE) de 2016 a compté 407 882 unités économiques dont 97% sont dans le secteur informel. Le secteur formel génère 83,7% de chiffre d’affaires global et parmi celui-ci les grandes entreprises le 69,9%. Les entrepreneurs qui représentent 81,8% des unités économiques recensées ne réalisent quant à eux que 8,6% de chiffre d’affaires.Depuis 2012 plusieurs initiatives en faveur de l’emploi ont été prises pour inverser la courbe du chômage et lutter efficacement contre le sous-emploi. D’abord, avec la loi d’orientation n°2012-32 du 31 décembre 2012. Cette loi est parfois référencée loi n°2007-49 du 6 février 2008 relative à la promotion et au développement des petites et moyennes entreprises. Elle prévoit entre autres des mesures d’aide et de soutien spécifiques aux jeunes entrepreneurs en vue de la création de PME. Aussi, la loi définit-elle les modalités de suivi relatives aux soutiens susvisés et le rôle des collectivités territoriales, des instituts de recherche, des universités, des organisations professionnelles et des partenaires au développement dans la promotion et le développement des entreprises. C’est ainsi que la lettre de politique sectorielle des PME définit une place prépondérante des PME comme acteurs importants de la croissance économique et au-delà un levier essentiel de lutte contre la précarité, le chômage et le sous-emploi. Cependant, leur vulnérabilité face aux chocs internes et externes continue d’affecter considérablement leur développement limitant ainsi, leur contribution à la formation du PIB. Cette vulnérabilité touche également la création d’emplois, en particulier l’emploi des jeunes. Majoritairement informelles, elles sont essentiellement constituées de Micro et Très Petites Entreprises, qui ne disposent que de très peu d’appuis financiers et techniques. Malgré leur nombre, la faiblesse du capital technique ne leur permet pas d’absorber les flux annuels de jeunes à la recherche d’un premier emploi. En cohérence avec les orientations du PSE, le PASPED (Projet de contraste à la migration illégale à travers l’appui au Secteur Privé et à la création d’emplois au Sénégal) a pour objectif de réduire la migration irrégulière grâce au soutien au secteur privé et à la création d’emplois au Sénégal et vise à créer une plateforme fournissant une assistance financière et technique pour contribuer au développement des micros, petites et moyennes entreprises (MPME) sénégalaises en renforçant le potentiel économique local et celui de la diaspora en Italie. La stratégie est de mettre à disposition des ressources humaines et financières pour sensibiliser et promouvoir le développement du secteur privé dans des régions ciblées (Dakar, Diourbel, Thiès, Kaolack, Louga et Saint-Louis). Le PASPED vient en appoint à la deuxième phase de la PLASEPRI (Plateforme d’appui au secteur privé et à la promotion de la diaspora sénégalaise), coopération bilatérale italo-sénégalaise, qui vise les mêmes objectifs en termes d’assistance financière et technique pour le développement des micros, petites et moyennes entreprises ainsi que le soutien au potentiel économique local et celui de la diaspora en Italie. La contribution de l’UE renforce donc le développement d’activités supplémentaires à celles du PLASEPRI, en termes d’instruments financiers innovants, d’assistance technique et de renforcement des capacités pour soutenir un plus grand nombre de MPME et créer des emplois supplémentaires, en particulier pour les jeunes et les femmes. A travers le Dispositif Territorial de Premier Emploi (DTPE) structuré en collaboration avec les Agences Régionales de Développement (ARD) des 6 régions d’intervention du projet (Dakar, Thiès, Diourbel, Kaolack, Louga, Saint Louis), le programme PLASEPRI/PASPED a placé 2 274 jeunes hommes et jeunes femmes formés dans 1 084 entreprises formelles des secteurs d’activités les plus divers ».
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Saint_Louis : La Transition Stages / Emplois en Questions

« Au Sénégal, la problématique de l’emploi des jeunes demeure une question cruciale et un défi majeur pour l’État malgré les performances économiques des dernières années avec un taux de croissance de 6.2 % durant la première phase du PSE (2014-2018) contre 3.3% dans la période 2009-2013. En effet, le dernier rapport de l’Enquête Nationale sur l’Emploi au Sénégal (troisième trimestre 2017) montre que le taux de chômage des personnes âgées de 15 ans ou plus est évalué à 10,8 %. Ce phénomène est légèrement plus noté en milieu urbain ou 13,8 % de la population active sont au chômage contre 7,6% en zone rurale. Selon le sexe, le chômage affecte davantage les femmes (16,56%) que les hommes (5,9%).Le secteur informel concerne 90 % de la population active et 60 % de la contribution au PIB. Avec un taux d’accroissement démographique de 3 % par an, atout potentiel pour la vitalité de son économie, le Sénégal voit arriver sur son marché du travail environ 269 000 nouveaux demandeurs d’emploi chaque année, dont une bonne partie est peu ou pas qualifiée (la durée moyenne d’éducation est de 3,7 ans. L’impact attendu de la 2ème phase du PSE (2019-2023) est la création d’au moins 500 000 emplois décents. Le premier Recensement Général des Entreprises (RGE) de 2016 a compté 407 882 unités économiques dont 97% sont dans le secteur informel. Le secteur formel génère 83,7% de chiffre d’affaires global et parmi celui-ci les grandes entreprises le 69,9%. Les entrepreneurs qui représentent 81,8% des unités économiques recensées ne réalisent quant à eux que 8,6% de chiffre d’affaires.Depuis 2012 plusieurs initiatives en faveur de l’emploi ont été prises pour inverser la courbe du chômage et lutter efficacement contre le sous-emploi. D’abord, avec la loi d’orientation n°2012-32 du 31 décembre 2012. Cette loi est parfois référencée loi n°2007-49 du 6 février 2008 relative à la promotion et au développement des petites et moyennes entreprises. Elle prévoit entre autres des mesures d’aide et de soutien spécifiques aux jeunes entrepreneurs en vue de la création de PME. Aussi, la loi définit-elle les modalités de suivi relatives aux soutiens susvisés et le rôle des collectivités territoriales, des instituts de recherche, des universités, des organisations professionnelles et des partenaires au développement dans la promotion et le développement des entreprises. C’est ainsi que la lettre de politique sectorielle des PME définit une place prépondérante des PME comme acteurs importants de la croissance économique et au-delà un levier essentiel de lutte contre la précarité, le chômage et le sous-emploi. Cependant, leur vulnérabilité face aux chocs internes et externes continue d’affecter considérablement leur développement limitant ainsi, leur contribution à la formation du PIB. Cette vulnérabilité touche également la création d’emplois, en particulier l’emploi des jeunes. Majoritairement informelles, elles sont essentiellement constituées de Micro et Très Petites Entreprises, qui ne disposent que de très peu d’appuis financiers et techniques. Malgré leur nombre, la faiblesse du capital technique ne leur permet pas d’absorber les flux annuels de jeunes à la recherche d’un premier emploi. En cohérence avec les orientations du PSE, le PASPED (Projet de contraste à la migration illégale à travers l’appui au Secteur Privé et à la création d’emplois au Sénégal) a pour objectif de réduire la migration irrégulière grâce au soutien au secteur privé et à la création d’emplois au Sénégal et vise à créer une plateforme fournissant une assistance financière et technique pour contribuer au développement des micros, petites et moyennes entreprises (MPME) sénégalaises en renforçant le potentiel économique local et celui de la diaspora en Italie. La stratégie est de mettre à disposition des ressources humaines et financières pour sensibiliser et promouvoir le développement du secteur privé dans des régions ciblées (Dakar, Diourbel, Thiès, Kaolack, Louga et Saint-Louis). Le PASPED vient en appoint à la deuxième phase de la PLASEPRI (Plateforme d’appui au secteur privé et à la promotion de la diaspora sénégalaise), coopération bilatérale italo-sénégalaise, qui vise les mêmes objectifs en termes d’assistance financière et technique pour le développement des micros, petites et moyennes entreprises ainsi que le soutien au potentiel économique local et celui de la diaspora en Italie. La contribution de l’UE renforce donc le développement d’activités supplémentaires à celles du PLASEPRI, en termes d’instruments financiers innovants, d’assistance technique et de renforcement des capacités pour soutenir un plus grand nombre de MPME et créer des emplois supplémentaires, en particulier pour les jeunes et les femmes. A travers le Dispositif Territorial de Premier Emploi (DTPE) structuré en collaboration avec les Agences Régionales de Développement (ARD) des 6 régions d’intervention du projet (Dakar, Thiès, Diourbel, Kaolack, Louga, Saint Louis), le programme PLASEPRI/PASPED a placé 2 274 jeunes hommes et jeunes femmes formés dans 1 084 entreprises formelles des secteurs d’activités les plus divers ».

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Sowéne : Le Maire de Gandiol et les Populations Parlent le Même Langage

Dans la commune de Gandiol, les populations du village de Sowène font leur mea_culpa. Ces dernières, trompées par les déclarations mensongères d’un ressortissant de la localité, au sujet du terrain de football du terroir, s’en sont pris au maire et au sous_préfet. Suite à la visite de clarification du maire de la commune, ces populations ont tenu, vaille que vaille, à retirer leurs déclarations tout en battant leur coulpe.

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Festival du Simb à Saint-Louis : L’ Histoire de la Discipline Revisitée le 24 Décembre Prochain

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Simb à Saint-Louis : Un Festival le 24 Décembre pour Redoser le Blason du Jeu de Faux Lions

« La fédération des faux-lions de Saint-Louis, en partenariat avec le centre culturel Abdel Kader Fall, organise la 1ère édition du festival sons et lumières autour du Simb le 24 décembre 2022 à la place Baya Ndar. Ce festival sera l’occasion de montrer la richesse artistique et plastique de cette discipline fédératrice, regroupant plusieurs arts (danse, chant, esthétique, art oratoire…). Depuis quelques années, le Simb, élément de notre patrimoine culturel immatériel, connaît une léthargie dans le Region de Saint-Louis et mérite plus d’attention en vue de sa revalorisation. C’est pourquoi le Centre culturel s’engage avec la fédération des faux lions à mettre en œuvre de nouvelles stratégies pour l’assainissement, l’encadrement et la structuration des acteurs du Simb dans le but de redonner à cette discipline toute sa splendeur et contribuer ainsi à sa promotion ».

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Première Équipe Africaine Demi_finaliste de la Coupe du Monde de Football : Le Maroc Écrit Histoire

Ça y est, le Maroc est en demi_finale de la Coupe du Monde. En battant le Portugal ( 1_0), les hommes de coach Regragui entrent dans histoire. Car, c’est le première fois qu’une équipe africaine se hisse à ce niveau. Cependant, ce parcours extraordinaire du Maroc dans ce Mondial est loin d’être un hasard.
Depuis des années, il y’a une véritable politique sportive dans ce pays du Maghreb. Avec notamment beaucoup d’investissements dans les infrastructures sportives.
Au surplus, le championnat marocain fait partie des meilleurs en Afrique tandis que les clubs du Royaume sont régulièrement vainqueurs des compétitions de clubs dans le continent ( Ligue des champions et Coupe CAF ).
Et que dire des nombreux joueurs africains qui sont attirés dans ce championnat. Grâce, notamment, aux excellents traitements salariaux sans commune mesure en Afrique. Autrement dit, seul le travail paie !
il convient de rappeler que le Maroc est la première nation africaine à gagner un point en coupe du monde, en faisant match nul (1 – 1) avec la bulgarie en 1970..
Ensuite, le Maroc est la première nation africaine à dépasser le premier tour en coupe du monde, en atteignant les huitièmes de finale en 1986.
De même, le Maroc est la première nation africaine à se qualifier pour les demi-finales de la coupe du monde, cette année, au Qatar.

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Ugb : Les Étudiants Réclament un Recteur et Dénoncent le Discours Clair_obscur du Nouveau Directeur du Crous

« La coordination des étudiants de Saint-Louis (CESL), éternel défenseur des intérêts matériels et moraux des étudiants sanarois, est au regret de constater la léthargie des autorités internes et externes face aux situations précaires qui sévissent à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis (UGB). Pour rappel, au mois de juillet 2022, des décisions irréfléchies de la part des autorités internes ont conduit à la fermeture arbitraire de l’UGB, plaçant cette dernière dans un contexte déplorable, occasionnant ainsi un bouleversement notoire sur le calendrier universitaire. Depuis la reprise au mois d’octobre, la CESL, en tant qu’une structure très responsable, a essayé, par tous les voies et moyens diplomatiques à sa disposition, de faire valoir les revendications des étudiants sanarois tout en préservant, comme elle l’a toujours fait, l’équilibre et la stabilité au sein de l’Université Gaston Berger. Dans son communiqué N°0000006GG/UGB/CESL-PS, la Coordination des Etudiants de Saint-Louis avait décliné un ensemble de revendications en Mettant l’accent sur les urgences actuelles qui gangrènent notre temple du savoir. Partant de la documentation, en passant par le manque d’infrastructures pédagogiques, les difficultés liées à la bourse, l’immense calvaire que vivent les étudiants pour faire leurs recherches à cause d’un campus dépourvu de connexion internet, jusqu’aux interminables défaillances des œuvres universitaires marquées par des conditions sociales profondément chaotiques, la CESL a essayé tant bien que mal de sensibiliser les autorités sur la nécessité de s’activer à la recherche de solutions face à toutes ces questions. Toutefois, force est de constater la posture puérile et inerte de ces dernières qui n’affichent aucun engagement à faire ce pourquoi elles ont été nommées, à savoir diriger cette université par la résolution des problèmes socio-pédagogiques que rencontrent les étudiants. Au moment où les autres universités publiques du Sénégal bénéficient des investissements de l’Etat, à travers l’acquisition de nouveaux bâtiments pédagogiques, de nouvelles résidences universitaires ainsi que des restaurants, l’Université Gaston Berger de Saint-Louis est laissée en rade et jetée aux oubliettes. Ceci sans l’ombre d’une réaction de la part de nos autorités. Le Directeur du CROUS, depuis sa nomination, fait fi de la question du retour dans ses locaux situés au campus et des vrais problèmes sociaux actuels tandis que le Recteur est recteur tout en étant plus recteur car, appelé à d’autres fonctions, ce dernier a déserté l’UGB depuis le mois de juillet.Il est aussi à rappeler que, d’ici quelques mois, nous assisterons à l’arrivée des nouveaux bacheliers. Avec ses orientations arbitraires et abusives, ne tenant pas compte de la demande ni de la capacité d’accueil de l’UGB, le Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI) a toujours tendance à chanter le même refrain de l’accompagnement pour justifier et faire valoir ses actes qui empirent d’années en année la situation de notre université et qu’au final toutes ses promesses se retrouvent dans l’annihilation totale.Ainsi, la CESL, sentinelle exclusive de défense des intérêts de l’étudiant sanarois, rappelle aux autorités compétentes qu’il est temps de démarcher et de poser des actes forts allant dans le sens d’apporter des solutions pour la diligence effective des questions susmentionnées. Faute de quoi, elle n’hésitera point à user de ses moyens syndicaux les plus sévères pour rétablir l’étudiant dans son droit le plus absolu.La Coordination des Etudiants de Saint Louis (CESL) réitère son engagement et sa disponibilité pour la cause de l’étudiant ».