PIF, un autre petit sauvageon

En voilà encore un autre énergumène, un illustre parvenu de la dernière heure qui s’exerce lui aussi au jeu des attaques puériles et insipides. Un autre cas pathétique qui tente désespérément de plaire au roi.
Il s’agit ici du fantasque et non moins loufoque Papa Ibrahima Faye, qui comme PIF (le personnage de bande dessinée) tente d’amuser la galerie à travers leur sport favori du moment : des attaques injustifiées contre le SG du FSD/BJ, Bamba Dieye. Cependant, peine perdue comme dirait l’autre car leur argumentaire est cousu de mensonges, d’à priori, de peur et de haine.
Pape Ibrahima Faye ! Voilà un numéro qui, comme par enchantement, par un simple adacadabra, est sorti du chapeau de Merlin Faye. Un homme pressé dont l’intelligence dépasse à peine la taille des lentilles et petits pois servis dans les resto de l’UGB ou il a miraculeusement été bombardé directeur à la surprise générale.
Le voilà qui parle de popularité sans ajouter que le seul maire hué par les populations depuis des décennies reste et demeure son mentor. Il parle d’inspiration et oublie de préciser que Mansour Faye est si inspiré qu’il vend du lait et du lait caillé concurrençant sans coup férir les braves Poulo. Quant à l’incompétence, tout le monde sait que c’est la marque de fabrique du maire-beau-frère qui en un laps de temps à terni l’image de notre cité et détruit tout le legs de l’équipe municipale sortante, jugez-en :
✓ Dix(10) bus pour le transport scolaire gratuit qu’ils ont réduit en ferraille ;
✓ Quatre(4) ambulances médicalisées transformées en des presque clandos ;
✓ Une(1) unité de pavage pour laquelle la commune a dépensé plus de 52 millions comme contrepartie qu’ils ont transformé en désert ;
✓ Des partenaires de partout (Afrique, Europe, Amérique…) qu’ils ont fait fuir ;
Bref, Papa Ibrahima Faye se trompe lourdement sur l’homme Bamba Dieye, et l’image qu’il veut lui donner dans sa petite tête est juste un fantasme mal refoulé d’une marionnette pouilleuse entre les doigts peu experts d’un artiste mal inspiré, un beau-frère devenu subitement multi millionnaire.
Ndar est donc tout petit et tout se sait ici. Oui, la ville de Coumba Bang sait distinguer la graine de l’ivraie, elle sait reconnaitre ses dignes fils qui la défendent urbi et orbi contrairement à cette bande d’arrivistes qui festoient et surfent sur le désarroi des populations repues de leur arrogance.
Oui, jeuf toxalna wax, seulement jeuf pour qui et pourquoi sinon pour perpétuer l’envahissante dynastie. Mes salutations en attendant le prochain pantin.

Bamba Faye
FSD/BJ Saint-Louis

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