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Procés Sonko / Adji Sarr : Un Agent du Crous Blessé au Visage, le marché de Sor en feu et une voiture de Police Incendiée

_ A l’ Université Gaston Berger de Saint-Louis, un agent du Centre Régional des Oeuvres Universitaires de Saint_Louis ( Crous ) a été blessé au visage. Il s’est opposé, lundi matin, aux étudiants venus mettre le feu sur des tables réformées. Dans la matinée, ces apprenants du Supérieur, favorables au leader de Pastef, sont allés au front, barrant la Route Nationale 2 pendant de longues heures. Aux pierres lancées par les pensionnaires de Sanar, les pandores ont riposté par des jets de lacrymogènes. Le tout, au grand dam des usagers de cette route très passante. Les populations qui quittent le Fouta ou le Walo passent, nécessairement, devant l’ Université Gaston Berger de Saint_Louis, traditionnel théâtre des opérations.
Dans l’aprés_midi, au plus fort de la tension latente, perceptible, aussi, dans la cité tricentenaire, à l’aune des développements relatifs à « l’affaire Sonko / Adji Sarr », du feu a été constaté aux abords du marché Tendjiguène, sis dans le faubourg de Sor. Par le biais de pneus et des branchages, certains individus ont, ainsi, mis le feu sur cette partie de l’avenue Général De Gaulle et devant le célèbre pont Faidherbe. Dans la foulée, ces jeunes, surexcités, ont incendié la voiture de la police, qui stationne, habituellement, devant la pharmacie Mame Madia. Rappeler que l’avenue Moustapha Malick Gaye a, aussi, été, nuitamment, la proie des flammes.

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Procés Sonko / Adji Sarr : « Le Jeu » en vaut_il la Chandelle ?

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Pikine à Saint_Louis : Le Premier Ministre Accueilli par des Brassards Rouges, Désamorce la Bombe

_ Chaude matinée pour le premier ministre à Saint_Louis, notamment au quartier Pikine où les brassards rouges étaient de sortie, dimanche matin, à l’occasion de sa visite dans le plus populaire quartier de la cité tricentenaire. Ici, l’eau des fosses septiques constitue le décor dans les rues, durant toute l’année. Les populations environnantes cohabitent, ainsi, avec cette odeur pestilentielle, qui s’y dégage, au quotidien. En dépit de leurs multiples plaintes, débitées à chaque face à face avec la presse, la situation n’a guère évolué dans le sens souhaité, cinq longues années durant. Cependant, cette vieille doléance n’est que la face visible de l’ Iceberg dans la mesure où l’ insécurité y a pignon sur rue alors que trouver de l’eau potable relève du parcours du combattant. Et, selon les populations qui se sont succédé, au parloir, la liste est loin d’être exhaustive. Dans ce dessein, pour alerter les pouvoirs publics sur leurs difficiles conditions d’existence, ces populations du quartier Pikine ont annoncé leur volonté de battre le macadam le 4 Juin prochain.
Prenant la parole, à la suite du maire Mansour Faye, selon qui, le premier ministre est venu pour apporter une solution au problème, Amadou Bâ a, d’abord, déploré, en même temps que les populations, cette situation des plus invivables. Avant d’ annoncer qu’il va, sitôt, sa visite de terrain terminée, s’en ouvrir au chef de l’ Etat et donner des instructions aux autorités compétentes pour que les difficultés soient prises en charge aprés une analyse pointue de la situation. L’ hôte de la ville de Mame Coumba de préciser, en substance, qu’il ne va, toutefois, pas faire dans la démagogie en promettant l’impossible ou en donnant une date à l’emporte_pièce. Convaincues par le discours d’ Amadou Bâ, les populations lui ont remis leurs brassards rouges. Le Pm, venu présider la cérémonie de clôture de la 23 éme édition du drapeau du chef de l’ État de Lutte s’est, ensuite, rendu au quartier Khar Yallah qui doit abriter le futur stade omnisports et au site de relogement des populations victimes de l’érosion cotière de la Langue de Barbarie de Diougop.

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Village de Ndioungue_Mbérés : Les Populations Réclament un Pont à Cause de la Récurrence des Cas de Noyade

_ Dans le village de Ndioungue_Mbérés, les cas de noyade se suivent et se ressemblent. Le dernier cas en date est celui d’un adolescent, qui a perdu la vie, au moment de la traversée des 30 mètres qui séparent les deux rives. Forts de ce constat, les habitants de cette partie du département de Dagana, ont rué dans les brancards, pour remettre au goût du jour, la lancinante question de la construction d’un pont. D’autant que, quotidiennement, les jeunes et les femmes, pour rallier les casiers rizicoles, qui s’étendent sur 800 hectares, traversent ce bras du fleuve à bord de barques ou d’embarcations de fortune.

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Drapeau du Chef de l’ État de Lutte : La 23 éme Édition Démarre dans une ambiance Carnavalesque, à Saint_Louis

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PetroGaz à Saint_Louis : Le Forum Civil Forme le Réseau des Enseignantes sur les Enjeux de l’ Industrie Extractive

_ « Le Sénégal est sur le point de devenir un pays-producteur de gaz et de pétrole. Les revenus qu’il peut espérer mobiliser offrent une opportunité d’accélérer le cheminement du pays vers l’autonomie en augmentant l’investissement public. Cependant, les projections de croissance à la suite des découvertes de pétrole et de gaz se sont avérées trop optimistes, et la transition en cours vers des énergies renouvelables signifie une baisse probable des prix du pétrole à long terme. Le risque d’attentes démesurées met en évidence un besoin de transparence et de responsabilité dans la prise de décision et la hiérarchisation des priorités. L’exploitation minière représente plus de 80% des revenus extractifs actuels du Sénégal, mais malgré les dispositions du Code minier de 2016, ce n’est qu’en 2021 que le gouvernement du Sénégal (GDS) a commencé à transférer des revenus miniers aux collectivités territoriales. Alors que le score très élevé du Sénégal dans la validation de l’Initiative pour la transparence des industries extractives (ITIE) 2021 et dans les indices de gouvernance des ressources 2021 de NRGI pour les mines et les hydrocarbures semble indiquer que le pays dispose d’une base solide pour la transparence et la bonne gestion des revenus issus des industries extractives, il existe des opportunités d’amélioration substantielle de la transparence et de la gestion à mesure que le pays engrange plus de revenus issus du secteur extractif avec l’exploitation prochaine du pétrole et du gaz.Cependant, il convient de noter qu’à côté de ces revenus, l’exploitation des ressources extractives cause beaucoup de problèmes aux populations qui habitent dans les zones d’exploitation mais aussi aux collectivités territoriales abritant les entreprises. En effet, malgré la richesse que génère le secteur extractif, les populations des zones d’exploitation continuent de subir les conséquences néfastes de l’exploitation des ressources extractives. Entre autres difficultés on peut citer le non-respect des droits des populations en termes de dédommagement, le non-respect des engagements environnementaux, de la responsabilité sociétale d’entreprise, des dispositions de la loi sur le contenu local. Au niveau des collectivités territoriales, la question des critères de répartition mais aussi le non-paiement des montants dus au titre du fonds d’appui et de péréquation avant 2019 continuent d’alimenter le débat public. Il s’y ajoute la non opérationnalisation du fonds de réhabilitation des sites miniers et du fonds d’appui au développement local des collectivités abritant les entreprises d’exploitation. NRGI, un institut mondial de politique et de plaidoyer avec une réputation appréciée pour l’assistance technique et une expérience approfondie dans le secteur extractif, s’est associé au Forum Civil et à l’ONG 3D organisations de la société civile sénégalaise – pour concevoir l’approche TRACES. Le Forum Civil (Section sénégalaise de Transparency International) et l’ONG 3D ont une vaste expérience de soutien à la société civile sénégalaise pour plaider en faveur d’une plus grande transparence et d’une participation citoyenne dans le secteur extractif. L’objectif du projet TRACES vise à accroître la transparence et les mécanismes de responsabilisation dans les secteurs minier, pétrolier et gazier pour une meilleure gestion des revenus, et promouvoir une plus grande transparence grâce à des mécanismes de surveillance et une gestion des revenus plus efficace.Cet objectif, essentiel, ne peut être atteint sans la contribution des acteurs de la Société Civile, des médias et des universitaires. De ce fait, il est nécessaire de renforcer leurs capacités sur différents instruments de redevabilité et de transparence du secteur extractif.Ainsi, le Forum Civil, avec ses partenaires, compte organiser des ateliers de renforcement de capacités sur plusieurs thématiques de gouvernance et de suivi du secteur extractif. En somme, ce conclave vise à permettre aux acteurs de la Société Civile (réseau des femmes enseignantes) d’avoir une bonne compréhension des instruments de gouvernance et de suivi du secteur extractif ».

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Ugb : Les Journées Scientifiques de l’ Ufr / Sat ont Vécu

_ La salle de conférence du Cea-Mitic de l’Université Gaston Berger abrite les journées scientifiques de l’Ufr / Sat. Ces journées, qui ont pour thème  » Sciences et Technologies au service du développement durable », sont présidées par le représentant de l’enseignement supérieur de la recherche et de l’innovation, le Pr Diaraf Seck, premier conseiller technique, en présence du recteur de l’ Ugb, le Pr Magatte Ndiaye, président du conseil académique du temple du Savoir..

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Lutte contre la Corruption : L’ Ofnac Prêche la Bonne Parole à l’ Ugb

_ « La corruption à travers ses différentes formes fragilise les États et compromet leur stabilité. Elle constitue un fléau qui freine tout processus de développement économique, social et humain. Les pays perdent chaque année des points de croissance à cause de la corruption qui se manifeste sous de multiples formes. Au Sénégal, la lutte contre la corruption est devenue l’une des composantes transversales de la gouvernance publique. Elle occupe une place importante au niveau de l’axe 3 du Plan Sénégal Emergent (PSE) « Gouvernance, Institutions, Paix et Sécurité » qui constitue le cadre de référence de la politique économique et sociale du Gouvernement. L’Office national de Lutte contre la Fraude et la Corruption (OFNAC) opère dès sa naissance un jumelage étroit de sa stratégie et de ses modes d’action avec les plans nationaux stratégiques d’émergence et de développement économique. Pour se conformer à la Convention des Nations Unies contre la Corruption et contribuer davantage à la promotion de la Bonne Gouvernance et à la lutte contre la corruption, l’État du Sénégal a élaboré une Stratégie nationale de Lutte contre la Corruption (SNLCC) 2020-2024. Ainsi, en son axe 3 intitulé « Communication et renforcement des capacités des acteurs de la lutte contre la corruption », ladite SNLCC cible deux principales actions à savoir :la communication pour le changement de comportement sur les effets néfastes de la corruption en ciblant les différentes composantes de la société : organisations publiques et privées, associations, communautés à la base, institutions de formation; le développement d’une culture d’intégrité et de probité dans la gestion des services publics, notamment en assurant la promotion de la culture du rejet des pratiques corruptives.Concerné dans la mise en œuvre de l’axe 3 de la SNLCC, le Département Prévention (DP) de l’OFNAC a inscrit dans son Plan de Travail Annuel (PTA) 2023 l’organisation d’activités de sensibilisation à l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis. Le choix de cette prestigieuse université n’est pas fortuit car ce milieu académique forme les futurs cadres des secteurs public et privé qui doivent être bien outillés sur les mécanismes de prévention et de lutte contre la corruption afin de mieux promouvoir les valeurs d’intégrité, de transparence et de responsabilité pour servir dignement leur pays une fois en fonction. Par ailleurs, la corruption n’épargne pas l’Université. À ce titre, les acteurs de l’enseignement supérieur, doivent être sensibilisés davantage à promouvoir les valeurs d’éthique.L’intervention de l’OFNAC à l’UGB n’est pas une nouveauté dans la mesure où des activités y ont été organisées en 2021. Ainsi, dans la continuité de la collaboration avec le monde académique, l’OFNAC organisera, conjointement avec l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis, des activités d’échanges, de réflexion et de sensibilisation de trois (3) jours autour de la problématique de la corruption.
Ce programme d’activités à l’UGB a pour objectif principal de promouvoir une dynamique de rejet de la corruption, la culture de l’intégrité et de la transparence dans le secteur de l’enseignement supérieur par la sensibilisation, le renforcement des capacités et la mobilisation de l’ensemble des parties prenantes (administrations, universitaires, étudiants).Objectifs spécifiquesPlus spécifiquement, il s’agit de :promouvoir une culture de veille, d’alerte et de rejet systématique de la corruption chez les étudiants, le personnel administratif et le corps professoral de l’UGB ;outiller les acteurs de l’UGB sur les mécanismes de prévention et de lutte contre la corruption.susciter la publication d’articles, de mémoires et de thèses sur la corruption ;attirer l’attention des acteurs de l’Université sur leur rôle dans la prévention et la lutte contre la corruption ; Résultats attendusLes résultats suivants sont attendus :plus de 700 acteurs (corps professoral, PATS et étudiants) de l’UGB sont sensibilisées sur les mécanismes de prévention et de lutte contre la corruption ; un dispositif de prévention et de lutte contre la corruption est mis en place à l’UGB ;les capacités des acteurs de l’Université sont renforcées sur la prévention et la lutte contre la corruption ; des recommandations issues des acteurs de l’UGB sont recueillies ».

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Cohabitation Ugb / Village de Sanar : Le Nouveau Directeur du Crous Rencontre les Imams et Chefs de Village pour Huiler, Davantage, les Rapports de Bon Voisinage

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PetroGaz à Saint_Louis : Les Journalistes Formés sur les Enjeux de l’ Exploitation des Ressources Naturelles

_ « Le Sénégal est sur le point de devenir un pays-producteur de gaz et de pétrole. Les revenus qu’il peut espérer mobiliser offrent une opportunité d’accélérer le cheminement du pays vers l’autonomie en augmentant l’investissement public. Cependant, les projections de croissance à la suite des découvertes de pétrole et de gaz se sont avérées trop optimistes, et la transition en cours vers des énergies renouvelables signifie une baisse probable des prix du pétrole à long terme. Le risque d’attentes démesurées met en évidence un besoin de transparence et de responsabilité dans la prise de décision et la hiérarchisation des priorités. L’exploitation minière représente plus de 80% des revenus extractifs actuels du Sénégal, mais malgré les dispositions du Code minier de 2016, ce n’est qu’en 2021 que le gouvernement du Sénégal (GDS) a commencé à transférer des revenus miniers aux collectivités territoriales. Alors que le score très élevé du Sénégal dans la validation de l’Initiative pour la transparence des industries extractives (ITIE) 2021 et dans les indices de gouvernance des ressources 2021 de NRGI pour les mines et les hydrocarbures semble indiquer que le pays dispose d’une base solide pour la transparence et la bonne gestion des revenus issus des industries extractives, il existe des opportunités d’amélioration substantielle de la transparence et de la gestion à mesure que le pays engrange plus de revenus issus du secteur extractif avec l’exploitation prochaine du pétrole et du gaz.Cependant, il convient de noter qu’à côté de ces revenus, l’exploitation des ressources extractives cause beaucoup de problèmes aux populations qui habitent dans les zones d’exploitation mais aussi aux collectivités territoriales abritant les entreprises. En effet, malgré la richesse que génère le secteur extractif, les populations des zones d’exploitation continuent de subir les conséquences néfastes de l’exploitation des ressources extractives. Entre autres difficultés on peut citer le non-respect des droits des populations en termes de dédommagement, le non-respect des engagements environnementaux, de la responsabilité sociétale d’entreprise, des dispositions de la loi sur le contenu local. Au niveau des collectivités territoriales, la question des critères de répartition mais aussi le non-paiement des montants dus au titre du fonds d’appui et de péréquation avant 2019 continuent d’alimenter le débat public. Il s’y ajoute la non opérationnalisation du fonds de réhabilitation des sites miniers et du fonds d’appui au développement local des collectivités abritant les entreprises d’exploitation. NRGI, un institut mondial de politique et de plaidoyer avec une réputation appréciée pour l’assistance technique et une expérience approfondie dans le secteur extractif, s’est associé au Forum Civil et à l’ONG 3D organisations de la société civile sénégalaise – pour concevoir l’approche TRACES. Le Forum Civil (Section sénégalaise de Transparency International) et l’ONG 3D ont une vaste expérience de soutien à la société civile sénégalaise pour plaider en faveur d’une plus grande transparence et d’une participation citoyenne dans le secteur extractif. L’objectif du projet TRACES vise à accroître la transparence et les mécanismes de responsabilisation dans les secteurs minier, pétrolier et gazier pour une meilleure gestion des revenus, et promouvoir une plus grande transparence grâce à des mécanismes de surveillance et une gestion des revenus plus efficace.Cet objectif, essentiel, ne peut être atteint sans la contribution des acteurs de la Société Civile, des médias et des universitaires. De ce fait, il est nécessaire de renforcer leurs capacités sur différents instruments de redevabilité et de transparence du secteur extractif.Ainsi, le Forum Civil, avec ses partenaires, compte organiser des ateliers de renforcement de capacités sur plusieurs thématiques de gouvernance et de suivi du secteur extractif.Il vise à permettre aux acteurs des médias d’avoir une bonne compréhension des instruments de gouvernance et de suivi du secteur extractif, surtout en matière de transparence budgétaire ».