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Pour un Hup de l’ Entreprenariat Local à Saint_Louis : Bp Initie un Caneva d’ Appui

 » Dans le cadre de ses activités d’investissements sociaux , BP en collaboration avec Kosmos Energy et Petrosen a lancé officiellement ce vendredi 15 avril 2022 , ses activités d’accompagnement en pré-incubation de startups, et en formalisation et structuration des micro , petite , et moyenne entreprises de la région de Saint-Louis.
Un projet confié à la structure CONCREE , qui est spécialisé en programme d’accompagnement d’entrepreneurs , et qui a mis sur pied Entreprendar , un programme de soutien à l’initiative et à l’écosystème entrepreneurial de la région de Saint-Louis.
Il s’agira de sensibiliser les jeunes entrepreneurs les former et les soutenir dans dans le développement de leurs activités.
Pour celà, il sera organisé un concours de startups qui permettra à 10 entrepreneurs de bénéficier d’un financement de 1000 dollars chacun.
Cinquante (50) MPME seront également accompagnés à se formaliser et à structurer leurs entreprises pour mieux améliorer leurs revenus et d’accompagner et de connecter les entrepreneurs aux options de financements qui existent « .

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Présidentielle Française : Quand Marine Le Pen  » Drague  » le Pays de la Téranga

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Hôpital Amadou Sakhir Mbaye de Louga : L’ Intersyndicale Bande les Muscles et Défie la Tutelle

_  » Nos premiers mots et toutes nos pensées vont bien évidemment à Madame Astou Sokhna et à sa famille. En ce mois bénit de ramadan, nous aurions souhaité qu’elle soit encore parmi nous et croyez que c’est le cœur meurtri, que nous adressons nos profondes prières au Très Haut, pour que dans sa grande Miséricorde, Il place notre sœur et son bébé dans son céleste paradis.

 Oui, comme les milliers de femmes que nous traitons 24 sur 24, 7 jours sur 7, tout au long de l’année, avec dévouement, compassion, abnégation et professionnalisme, c’est bien une sœur que nous avons perdue. Son décès est un choc pour nous tous, qui étions confiant de son retour à la maison, son bébé dans les mains.

 Monsieur MBOUP, nous vous disons « massa », aucun de nous ne pourra jamais imaginer votre douleur, à la suite de cette énorme perte pour vous et votre famille. Croyez bien que nous compatissons à votre chagrin et prions pour vous et votre famille.

 Au regard de la retenue qui sied en ce genre de moments tragiques, par égard à la famille, mais également parce qu’une procédure judiciaire est en cours, nous avions pris le parti de garder le silence.

 Toutefois, à la suite des mesures conservatoires prises aujourd’hui par la tutelle à l’endroit du personnel impliqué, il devient pour nous un devoir impérieux de rompre ce silence, face aux sanctions prématurées entreprises, alors qu’une enquête suit son cours et que surgissent des manipulations qui jettent à la vindicte populaire, d’honnêtes personnels de santé, qui ont voué leur vie entière à soigner, à guérir et à alléger les peines de leurs concitoyens.

 Nous sommes les premiers à réclamer que la justice fasse la lumière dans cette tragédie. Toutefois, étant donné que l’enquête est en cours, ainsi que les auditions, nous souhaiterions que celle-ci aille jusqu’à son terme, en l’occurrence jusqu’à l’autopsie. C’est seulement à ce stade, que l’opinion sera édifiée des tenants et des aboutissants de cette affaire et que toutes les responsabilités seront établies.

 Nous comprenons la charge émotionnelle que cette tragédie a drainée. Toutefois, nous appelons tout le monde à la retenue. L’erreur consisterait à ériger les personnels de l’hôpital de Louga en responsables des maux dont nos concitoyens souffrent à longueur de journée dans nos structures sanitaires, partout au Sénégal. Cela serait injuste, malhonnête et contreproductif. La vérité est que nous personnels de santé sommes les premières victimes des insuffisances de notre système de santé, que nous dénonçons avec ardeur depuis des années.

 Il est commode de nous désigner comme boucs-émissaires au niveau local, pour des manquements endémiques qui engagent l’Etat et dont nous savions tous qu’ils produiraient immanquablement des tragédies de ce genre.

 Aussi, dénonçons-nous les mesures prises par le Ministère de la Santé et de l’Action Sociale. Comme tout justiciable de ce pays, nos sage-femmes et gynécologues doivent bénéficier d’une présomption d’innocence que leur garantit la loi, jusqu’à ce que l’enquête prouve leur culpabilité ou leur innocence. Cette mesure est d’autant plus aberrante, que malgré cet événement tragique, l’hôpital continue de fonctionner et nous continuons de délivrer nos soins à des milliers de nos concitoyens. Or, cette sanction précipitée handicape lourdement le fonctionnent déjà précaire de la maternité qui ne compte actuellement que 2 gynécologues contractuels et 15 sage-femmes réparties en 5 équipes, qui se relaient aux gardes et astreintes de la salle d’accouchement.

 Il apparait clairement que dans cette atmosphère émotionnelle propice aux surenchères et à la manipulation, il existe une volonté manifeste de nous jeter en pâture. Toutefois, ce qui nous maintient forts dans la ferme conviction que c’est avec foi, honnêteté détermination et abnégation que nous continuerons à remplir notre sacerdoce, ce sont les centaines de témoignages de femmes et d’hommes qui ont été traités avec humanité et professionnalisme ici à l’hôpital de Louga, par les mêmes personnels dont on essaie aujourd’hui de souiller l’honneur.

 Il suffit d’être venu une seule fois dans notre structure, pour voir à quel point elle est négligée depuis plusieurs années. En effet, le projet de réhabilitation du pole « mère–enfant » piloté par le Programme d’Amélioration de la Santé de la Mère et de l’Enfant (PASME), entrepris depuis Janvier 2019 et qui devait être livré en Décembre 2019 est à l’arrêt depuis Mars 2020, à cause d’un litige que l’Etat est incapable de résoudre jusqu’à ce jour.

Cette situation a eu comme conséquences :

o La réduction de la capacité d’accueil de la maternité de plus de la moitié, avec une délocalisation de la salle des suites de couche dans un autre service ;
o La perte d’un bloc opératoire ; avec affectation de 02 salles exiguës, inadaptées et non équipées au bloc opératoire central ;
o La réduction de la capacité d’accueil des salles des patientes ayant des grossesses pathologiques et des patientes en post-opératoires, conduisant à mettre parfois 2 à 3 parturientes par lit et le Ministère ne peut pas dire qu’il n’est pas au courant de cette situation ; beaucoup de rapports sur l’état de la maternité ayant été envoyés à la tutelle et des missions dépêchées ;
o L’insuffisance en ressources humaines. Il faut noter que l’hôpital en janvier 2022 comptait 409 agents, dont seulement 73 étatiques et 18 contractuels du Ministère. Le reste est constitué de 318 agents (correspondant à 77,7% des agents), soit 83 CDI ; 42 CDD ; 50 prestataires ; 129 stagiaires rémunérés ; 9 médecins stagiaires, 4 ASP et 1 agent des collectivités locales à la charge de l’hôpital.
o Malgré ces difficultés, la maternité a enregistré en 2021 dans un contexte de COVID-19 :

  • 25839 consultations ;
  • 4887 accouchements dont 3245 par voie basse et 1642 césariennes ;
  • 18 décès soit 0,3%.

 Il s’y ajoute la ponction non justifiée de 100 millions de francs CFA sur la subvention annuelle de l’état, effectuée en début 2021 et qui n’a été notifié qu’en Décembre de la même année, alors que le budget l’avait déjà pris en compte. Cela a bien évidemment plongé la structure dans une précarité financière sans précédent.

 Par ailleurs, depuis Septembre 2021, la structure n’arrive pas à payer les gardes et les astreintes, situation pareille pour les motivations depuis Janvier 2022, alors que nombre d’agents ne dépendent que de ces émoluments. Cela n’a malgré tout, pas empêché la continuité du service par le personnel de l’hôpital.

 Monsieur Le Président de La République vient de limoger notre Directeur. Dans un pays où la justice place tous les citoyens au même niveau, le ministre de la Santé et de l’Action Sociale devait alors être démis de ses fonctions, s’il n’a pas daigné lui-même présenter sa démission. Plus que quiconque, il est responsable de la situation actuelle, qui fait de nos concitoyens, patients comme personnels de santé, des victimes de plusieurs années de manquements. Toute faute doit être sanctionnée et nous demandons à ce qu’elle le soit, toutefois nous exigeons que cela soit fait de manière impartiale et au terme d’une enquête rigoureuse, situant les différentes responsabilités à tous les niveaux.

 Enfin, en réponse aux mesures conservatoires prises et l’exigence légale et légitime de soins de qualité par la population qui passe nécessairement par des locaux adaptés, un relèvement du plateau technique et des ressources humaines suffisantes et qualifiées, l’intersyndicale du CHRASML décide de suspendre toutes participations aux activités de soins à la maternité qui ne répondent pas aux normes qualitatives requises à compter de ce jour en conformité avec l’article 4 du code de la Déontologie Médicale qui stipule que « En aucun cas, le médecin ne doit exercer sa profession dans des conditions qui puissent compromettre la qualité des soins et des actes médicaux . Le Directeur de la Santé Publique est habilité à s’assurer des conditions dans lesquelles sont effectués les soins et les actes médicaux ».

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Hôpital Amadou Sakhir Mbaye de Louga : Aprés la  » Décés Interpellatif  » d’ Astou Sokhna, les Sanctions …

** Médecin Aprés la Mort…

** L’ Arbre qui Cache la Forêt…

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Ugb : Les Étudiants, Encore, en Grève…

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Bavure Policière : Au Sénégal comme en Italie, Sale Temps pour le Goorgorlou !!!


Intolérable ! Un ressortissant sénégalais, émigré en Italie, malmené par la police locale…. Presque le remake d’évènements récents notés au pays de la Téranga…

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Youssou Diallo ( Président du Club Sénégal Emergent) sur le Démantèlement des Bases Rebelles en Casamance : « Un Pays Ne Peut Négocier sa Souveraineté »

Par Dakaractu.com

_ Pour le président du Club Sénégal Emergent, le discours tenu au chef à l’endroit des forces de défense et de sécurité est bien dans son contexte. Car pour Youssou Diallo, aucun pays au monde ne négocie avec sa souveraineté. Et concernant la situation qui prévaut actuellement en Casamance, il ne s’agit pas de lutte contre une rébellion armée au sens classique du terme, mais plutôt un rétablissement de l’ordre et de la sécurité des personnes et de leurs biens.

« Un pays ne peut pas négocier sa souveraineté, ne peut pas laisser faire des situations du genre de ce qu’on a noté à notre frontière avec la Gambie avec la création d’espaces de pillage et d’exploitation illégale de nos ressources naturelles par des bandits, d’espaces de non droit sur un territoire national. Il ne s’agit plus de lutte contre une rébellion armée au sens classique du terme, mais d’un rétablissement de l’ordre et de la sécurité des biens et des personnes, de l’Etat de droit dans toute une portion de la région de Ziguinchor », a souligné Youssou Diallo.

Par ailleurs, pour le président du Club Sénégal émergent et non moins PCA de la Sonacos, ce qu’on appelait le conflit de la Casamance est devenu sous le Président Macky Sall, un problème de maintien de l’ordre et de sécurité intérieure. Ce qui appelle au soutien de tous derrière le chef de l’État Macky Sall pour une résolution définitive de cette crise.

« À la suite des événements qui se sont produits depuis 1982, il y a eu des groupes mafieux, des hors la loi qui, dans certaines zones, surtout à la frontière avec la Gambie, à la faveur de toutes sortes de trafic, ont continué à écumer les populations, à piller les ressources naturelles de notre pays, à voler, à intimider et à tuer ; mais plus grave, ils sont allés même jusqu’à agresser nos forces de défense et de sécurité et prendre quelques uns en otage. L’État du Sénégal, qui a toujours favorisé la négociation, y compris ces bandes, pour les ramener à la raison, a décidé cette fois- ci, parce c’est trop c’est trop, de rétablir avec vigueur et rigueur l’ordre. L’ensemble du peuple sénégalais, y compris les cadres et forces vives casamançais, est derrière le Chef de l’État pour l’éradication définitive de ces bandes de « hors la loi » de l’ensemble territoire national ».

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Misra : La Grande Mosquée Abrite la Traditionnelle Conférence

Au quartier Misra de Sor_diagne, l’on a beaucoup parlé de religion, ces dernières heures. Surtout, certains pans importants de la religion musulmane y ont été revisités. Venus des localités voisines, les populations ont, ainsi, communié dans un bel, en vue de respect le  » rendez_vous du ramadan « . En plus des thèmes d’une brûlante actualité développés lors de la conférence religieuse, la générosité des donateurs envers les personnes nécessiteuses et autres daras a été notée. Ce rituel qui a démarré depuis l’année 2012 permet, aujourd’hui, aux populations vulnérables de cette partie de la commune de Saint_Louis, de bénéficier d’habits et de vivres collectés par les organisateurs.

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Kamils de Saint_Louis : Le Legs de Initiateur Alioune Badara Diagne  » Golbert  » Perpétué

L’ histoire bégaye, encore, à Saint_Louis du Sénégal. Le récital de Coran ou Kamils de Saint_Louis est, entrain, de survivre, durablement, à son Initiateur Alioune Badara Diagne  » Golbert ‘. Deux années, aprés le rappel à Dieu de ce digne fils de Saint_Louis, le fruit de son inspiration résiste à l’usure du temps. Ainsi qu’il l’a, toujours, souhaité de son vivant, ce rendez_vous religieux, organisé le premier dimanche de chaque mois de ramadan au cimetière Marmiyal et le dernier dimanche à Thiaka Ndiaye, mobilise les saint_louisiens. Des milliers de musulmans, hommes et femmes, de tout âge, tout de blanc vêtu, convergent vers ces sanctuaires. En vue, des heures durant, de prier pour nos défunts. Ainsi, aprés le succés des éditions précédentes, le ramadan 2022 n’a pas dérogé à la régle.

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Ugb : Les Ong Partenariat et Gères Suscitent le Débat sur les Energies Renouvelables

Les Ong  » Le Partenariat  » et  » Geres  » renforcent les capacités des étudiants et enseignants chercheurs de l’ Université Gaston Berger de Saint_Louis, sur l’analyse des enjeux énergétiques des territoires. Cette activité s’inscrit dans le cadre du Programme d’accès aux énergies renouvelables en région de Saint-Louis et Matam (PAER) II, soutenu par l’agence Française de Développement et d’autres partenaires de la Region Hauts-de-France. Le PAER est mis en oeuvre par l’ONG le Partenariat, avec la collaboration du Geres, des ARD et acteurs territoriaux. L’ Ugb est un partenaire du programme, notamment sur le volet recherche et développement sur les énergies renouvelables « .