Ugb : Les Étudiants Bandent les Muscles

 » La Coordination des étudiants de Saint-louis (CESL) est la structure suprême de représentation estudiantine et éternel défenseur des intérêts matériels et moraux des étudiants de l’université Gaston Berger (UGB). Depuis sa création en 1994, la CESL reste et demeurera la seule structure habilitée à faire des revendications et poser des actes en usant dans son arsenal de moyens de luttes syndicales comme les journées sans tickets, les descentes sur la route nationale,entre autres.
Depuis des années maintenant, la structure a adopter une démarche très responsable pour seul et unique but l’amélioration des conditions socio-pedagogiques des étudiants dans un cadre universitaire pacifié, sain et meilleur.
Cependant, depuis un bon moment des problèmes gangrènent quotidiennement la vie des étudiants de l’université Gaston Berger, tant sur le plan social que pédagogique. En toute responsabilité la CESL a mentionné en lettres d’or dans sa plate-forme revendicative tous ces maux, la soumis aux autorités concernées en leur proposant des pistes de solutions.
Malheureusement, La Coordination des Etudiants de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis est au regret de constater l’attitude irresponsable des autorités concernées. Ces derniers ne cessent de biaiser la devise de cet temple du savoir qu’est « l’excellence au service du développement « .

Toujours fidèle à sa démarche, la CESL a encore privilégier le dialogue et la négociation pour rétablir l’étudiant dans son droit le pus absolu.

C’est dans cette ordre d’idées que le Mercredi, 27 octobre 2021, la CESL a invité la presse pour montrer à l’opinion nationale et internationale, c’est qu’est le calvaire qu’est entrain de vivre l’étudiant sanarois. Les coordonnateurs de la CESL ont ciblé des endroits stratégiques tant pédagogiques que sociales.

Dans le campus social, nous avons des problèmes relatifs aux manque d’infrastructures et d’équipements.
Telles que les salles de classes en état de délabrement et qui manquent criardement de chaises.
Il y’a aussi les problèmes d’insuffisance d’amphithéâtres et ceux qui existent ont largement dépassé leur capacité d’accueil. A l’image de l’amphithéâtre de l’UGB 2 qui devait en principe accueillir 900 étudiants mais avec les chaises défectueuses, il ne peut plus contenir plus de 700 étudiants.
Qui plus est, c’est les étudiants même qui se cotisent pour acheter des micros pour l’amphithéâtre afin de pouvoir entendre ce que dis le professeur.

Ceci n’est que la partie visible de l’iceberg pour les problèmes relatifs à la pédagogie.

Venons en à l’état du campus social avec le problème de l’assainissement, de la voirie interne, l’ineffectivité de l’installation du WiFi et tant d’autres problèmes.

imaginez, une modique de 700 millions bloque la question de l’assainissement à l’UGB et au moment où ces lignes sont entrain d’être écrit, les eaux usées se déversent dans les chambres des étudiants avec une manque d’eau qui commence à durer.
L’état d’insalubrité du campus est indescriptible, nous avons au campus des « mbeubeus bis ». Aller à côté des villages O, P N pour voir.
Concernant la voirie interne, c’est un combat de longue date et jusque là ça persiste. en effet, la voirie est quasiment inexistante au campus social.

Pour la connectivité, les images du reportage parlent d’elles mêmes. Les étudiants se regroupent au tour des points comme le centre de calcul pour se connecter, pensez-vous que c’est normal ?

Voici, en résumé, ce qui est à l’origine du hastag  » LIMA METTI SI UGB » qui passent sur les réseaux sociaux et la descente sur la nationale des étudiants de l’UGB ce 29 octobre 2021 « .

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *