Mois : mars 2021

 » Chers citoyens de Dagana, le moment est venu, pour nous, de porter à l’adresse de son Excellence, Monsieur le Président de la République, par ailleurs, porte étandard de la coalition Benno Bokk Yakaar., cette entité dynamique qui incarne la véritable représentativité de la classe politique, toute l’amertume qui nous vient du plus profond de notre chair.
Cet appel, pour ne pas dire un cri de coeur, atteste du sentiment de malaise profond qui touche la coalition. Et singulièrement, les braves militants de notre patrimoine commun ! Derrière un duo de fer, nous voulons citer Mouhamadou Makhtar Cissé et Cheikh Ahmet Tidiane Cissé dont la compétence et l’ engagement auprès du chef de l’ Etat n’ ont jamais fait l’ombre d’un doute. Et dire que ce duo a déraciné le baobab tant chanté qui n’est autre qu’ Oumar Sarr. Depuis lors, beaucoup d’ encre a coulé.
Posons à notre maire, la question, à savoir : où est notre assinissement ?
Est_il nécessaire de rappeler que beaucoup de conseillers ont démissionné pour rejoindre l’Apr ! Lui même est venu. Mais au dernier moment parce que craignant une troisième défaite qui lui aurait été fatale. Vingt trois ans de règne nébuleux marqué par le népotisme, le clientélisme politique, une gestion cavalière de notre chère commune. La ville est dans l’agonie.
Dagana que chantait Yousdou Ndour :  » Balla Ngaye khamni Wallo Nii Laa Nekhé, Nga Dème ba Dagana. Fofou Ndokh Bangui Walangane « . Aujourd’hui, ce n’ est plus ce Dagana. Comprenez par là qu’il y a un manque terrible de cette denrée précieuse. Et pourtant il avait été ministre de l’ hydraulique et de l’ assainissement sous Wade. Qui nous avait dit, un jour, que s’il y a un manquement, sachez que ce n »est pas moi, mais votre maire, en le pointant du doigt. Cela vaut tout dire.
Seulement le syndrome vécu ces derniers jours au Sénégal est très révélateur d’un certain état d’esprit qui s’est emparé de la jeunesse plus spécifiquement. A tout point de vue, le département de Dagana et, particulièrement, la commune chef_lieu de département, est un brasier potentiel. En effet, le réveil risque d’être brutal. Tellement la frustration est grande et à juste titre. Sinon, comment comprendre qu’ après le triomphe de 2017 et 2019, que les acteurs principaux soient démis de leurs fonctions politiques au niveau institutionnel. Et, pour assommer la base qui était dans une torpeur indescriptible, les vaincus sont promus, à la surprise generale
Eh bien, sachez qu’il a déménagé à Richard-Toll tout en disant que l’életorat de Richard_Toll est beaucoup plus important que celui de Dagana. Donc il a berné sa population.
Rêve ou réalité ? Il demeure que le choix opéré par notre leader national ne rime pas avec fidélisation de la base, encore moins à une massification. Au demeurant, au lieu de proférer des invectives à l’endroit du maire de la commune par sa gestion, aux antipodes des règles prescrites, notre appel est un sursaut, une invite à l’autorité suprême, de rendre à César ce qui appartient à César. Mmc et Ch A. T Cissé méritent plus d’égards et de reconnaissance. Le moment n’ est pas à saper le moral de nos leaders qui n’ont point courbé l’échine pour répondre à l appel du président son Excellence. Ce, dans un contexte extrêmement suicidaire, tellement les populations étaient devenues des sujets aveugles du Pds.
Cependant, la base a pris acte de la volonté du président qui a accueilli la demande d’allégeance du camp déchu et s’indigne, néanmoins, du mépris engendré, dont il est responsable « .

A Saint_Louis, le Forum Civil vole au secours des populations du quartier Khat Yallah. Ces dernières sont menacées d’expulsion à cause des travaux d’extension de l’aéroport. Mais ce qui déclenche la colère des populations, c’est le double langage des autorités locales qui ne veulent plus respecter leurs engagements. Lors des négociations, il y a quelques années, il a été convenu le relogement des populations déguerpies, a glané le site de référence www.miroironeline.com. Aujourd’hui, ces populations qui flairent un bluff, ne veulent pas être les dindons de la farce et réclament justice.

Le ministre Oumar Guéye est venu à Saint-Louis, a vu et, est reparti satisfait. L’ hôte de la vieille cité tricentenaire s’est, d’abord, rendu au niveau
de la Langue de Barbarie, entre Santhiaba et Gokhou Mbaxx, pour constater, de visu, l’état d’avancement des travaux initiés dans le cadre de la protection de cette partie de la ville de Mame Coumba Bang. Avant faire cap sur le site de Djougop, où sont relogées les populations victimes de l’érosion côtière, le ministre a dit toute sa satisfaction, a glané le site de référence www.miroironeline.com. Après avoir visité le site de Djougop et discuté avec ses actuels occupants, le ministre de la décentralisation s’est voulu rassurant quant à l’avenir et la fiabilité des lieux.

 Les travaux du pont de Rosso peuvent démarrer. Finies les longues files d’attente pour enjamber le bras du fleuve-Sénégal, à bord du bac de Rosso, qui relie les villes de Rosdo-Sénégal et Rosso-Mauritanie,Les autorités compétentes de la Mauritanie et du Sénégal ont procédé, ce jeudi, à la signature des contrats de travaux et de supervision. L’ouvrage d’utilité publique, long de 1461 mètres pour une largeur de 14,55 mètres et 8 kms de route d’accès, devient, ainsi, le symbole de l’Union intemporelle entre les deux pays_frères. A coup sûr, ce pont qui matérialise l’amitié entre nos deux peuples et nos deux États, va, considérablement, contribuer à réduire le temps mis pour rallier l’une ou l’autre partie de la frontière. Tout en étant une passerelle stratégique et économique entre les deux Républiques_soeurs. Infrastructure essentielle du corridor transcôtier Tanger_Casablanca_Nouachott_Dakar_Abidjan_Lagos, l’ouvrage métallique qui va trôner sur le fleuve_Sénégal, participe à la mise en œuvre de la politique d’intégration dous_régionale. Cette dernière a pour ambition, selon le ministre sénégalais en charge des infrastructures, de favoriser l’interconnexion des réseaux routiers de nos pays, réduire la durée des voyages, accroître les échanges commerciaux et renforcer la cohésion entre nos peuples. Parmi les objectifs attendus de ce pont, figurent en bonne place amélioration du niveau de service sur l’axe Nouakchott – Dakar en vue d’accroître les échanges commerciaux sur les axes routiers transafricains ainsi qu’ un mieux être des conditions de passage et de traversée de la frontière entre le Sénégal et la Mauritanie. L’augmentation de l’accessibilité au services de base et des conditions de vie des populations de la zone d’influence directe du projet est, aussi, attendue, a glané le site de référence www.miroironeline.com. Ce pont est financé à hauteur de 87,63 millions d’euros. Soient 40,75 millions d’euros par la banque africaine de développement, 22,30 millions d’euros, par la banque européenne d’investissement, un don de l’Union européenne à hauteur de 20 millions d’euros, des contributions de 3,50 millions d’euros pour la Mauritanie et 1,04 million d’euros pour le Sénégal. Il faut dire que construire un pont sur ce fleuve est un rêve depuis l’indépendance pour les dirigeants et les populations. La volonté des présidents Mohamed Ould Cheikh Al -Ghazwani et Macky Sall a transformé les exigences d’hier en gains d’aujourd’hui et a cherché en permanence à écouter les préoccupations des citoyens et à réaliser leurs aspirations et attentes de progrès et de développement, ainsi que l’a laissé entendre le ministre mauritanien des finances, à l’occasion de la cérémonie de signature de convention organisée dans la ville de Ross-Mauritanie.

Par sencafeactu.com

 » Guy Marius Sagna, Assane Diouf et Clédor Sène ne sont pas les seuls à humer l’air de liberté ce mercredi. Les choses ont aussi bougé du côté de la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Ziguinchor. Lamine Badji (professeur au lycée de Bona dont l’arrestation avait créé plusieurs remous), Bacary Richard Diémé, Ousmane Bodian, Atab Sonko, Madicone Sané, Amadou Badji, Ismaila Badiane et Djibril Camara ont été aussi libérés. Une information confirmée par Pastef-Bignona, selon Liberation.

De son coté, Guy Marius Sagna, libéré hier en même temps que Clédor Sène et Assane Diouf, a tenu à remercier tous ses souteneurs et lancé un message  devant la prison de Sébikhotane où il était détenu : « le combat continue » « .

Par Sénégal7.com

Lors d’une avec la coalition ctoyenne « Le Peuple », le leader de Pastef Ousmane Sonko a commenté les propos de l’ancien ambassadeur de France au Sénégal.

« Il sera difficile de faire disparaitre Sonko », a notamment souligné Jean Christophe Rufin alors qu’il commentait la situation politique au Sénégal lors d’une émission sur une chaine française.

Pour le leader de Pastef, « c’est un lapsus révélateur » qui en dit long sur les intentions du régime de Macky Sall à abattre ses opposants politiques. Sonko estime que l’ancien diplomate n’invente rien, car en Afrique, l’on a l’habitude de faire disparaitre les opposants.

Mieux, soutient Ousmane Sonko, « nous n’avons pas d’Etats démocratiques en Afrique. De l’extérieur, les gens considèrent qu’un président africain peut à tout moment effacer un opposant de la surface de la terre s’il le veut ». Ce qui est désormais inacceptable au Sénégal et en Afrique, peste le leader des Patriotes.